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Journal de Dylane. 9.5, Gâteau au chocolat / Marilou Addison ; illustrations, Laura Vandal.

Par : Collaborateur(s) : Collection : Addison, Marilou, Journal de Dylane ; 9 1/2.Éditeur : [Morin-Heights, Québec] : Boomerang, [2019]Date du droit d'auteur : ©2019Description : 405 pages : illustrations ; 23 cmType de contenu :
  • texte
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9782897093198 (broché)
Sujet(s) : Genre/Forme : Classification CDD :
  • C848/.92 A226g 23
  • C843/.92 A226g 23
Résumé : Opus hors série où Dylane cède la parole à sa cousine Mirabelle, qui se sent bien seule depuis qu'elle a aidé Émile à ridiculiser Maélie (cf. tome 8). Mal dans sa peau, elle entame un nouveau régime miracle à base de fruits qui, elle l'espère, éliminera les "dix bonnes livres" que sa mère souhaite la voir perdre en arguant qu'elle doit garder la ligne pour plaire au garçon de son choix. Garçon qui se devra bien entendu d'être beau comme un dieu. Or, entre la culpabilité que lui font ressentir ses agissements passés et les disputes de plus en plus fréquentes de ses parents, Mira n'a qu'une envie: dévorer du gâteau au chocolat. Ce qu'elle s'applique à faire en cachette tout en trouvant un peu de réconfort sur la tombe de sa grand-mère, dans le cimetière du quartier. C'est là qu'elle fait la rencontre de Phil, un garçon aux magnifiques yeux verts, mais au nez un peu croche, qui habite avec sa grand-mère et porte sur ses épaules le poids d'un lourd secret. La relation amoureuse qui se tisse peu à peu conduit l'adolescente à remettre en question l'importance qu'elle accorde à l'apparence (la sienne et celle d'un éventuel amoureux), lui donnant ainsi la force de faire la paix avec ses agissements passés, de retrouver son estime d'elle-même et de se libérer de sa relation toxique avec Émile, qui la manipule sans vergogne pour obtenir d'elle tout ce qu'il veut. [SDM]Critique : Un journal intime très classique, dont cet opus, qui se déroule de juillet à août, est l'occasion de découvrir le point de vue de celle qui est devenue une paria dans les tomes précédents de la série. Au fil des pages s'esquisse le portrait d'une adolescente écrasée par une mère très superficielle, qui scrute tout ce qu'elle mange en la mettant sans cesse en garde contre les calories qui lui "tomberont sur les hanches et les cuisses" en l'empêchant de trouver un bel amoureux. La rencontre de Phil est une bouffée d'air frais dans l'univers de cette jeune fille mal dans sa peau et au final très attachante, qui retrouve son équilibre au contact de ce petit ami qui lui répète qu'elle est tout aussi belle sans maquillage et sans talons hauts. De multiples recettes de gâteaux au chocolat jalonnent la narration au ton très actuel, rédigée dans une typographie large et aérée que viennent pimenter de nombreux courriels et textos. Ces derniers ne sont pas toujours rédigés dans un français correct et intègre de multiples déformations qu'entraîne l'utilisation du langage SMS auxquelles s'ajoute par ailleurs les "Oh maille god!" [sic], dont l'héroïne ponctue constamment son discours. Soulignons que, bien qu'elle ait seize ans, l'adolescente demeure assez ingénue pour son âge et que l'ensemble demeure par conséquent très pudique et accessible aux plus jeunes. [SDM]
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Type de document Bibliothèque propriétaire Localisation Cote Statut Date d'échéance Code-barres Reservations d'exemplaire
Monographie École du Havre-Jeunesse Roman ADDI T.9.5 (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 009010056
Monographie École Thérèse-Martin Roman ADDI Can v.9.5 (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 103BIB004191
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Opus hors série où Dylane cède la parole à sa cousine Mirabelle, qui se sent bien seule depuis qu'elle a aidé Émile à ridiculiser Maélie (cf. tome 8). Mal dans sa peau, elle entame un nouveau régime miracle à base de fruits qui, elle l'espère, éliminera les "dix bonnes livres" que sa mère souhaite la voir perdre en arguant qu'elle doit garder la ligne pour plaire au garçon de son choix. Garçon qui se devra bien entendu d'être beau comme un dieu. Or, entre la culpabilité que lui font ressentir ses agissements passés et les disputes de plus en plus fréquentes de ses parents, Mira n'a qu'une envie: dévorer du gâteau au chocolat. Ce qu'elle s'applique à faire en cachette tout en trouvant un peu de réconfort sur la tombe de sa grand-mère, dans le cimetière du quartier. C'est là qu'elle fait la rencontre de Phil, un garçon aux magnifiques yeux verts, mais au nez un peu croche, qui habite avec sa grand-mère et porte sur ses épaules le poids d'un lourd secret. La relation amoureuse qui se tisse peu à peu conduit l'adolescente à remettre en question l'importance qu'elle accorde à l'apparence (la sienne et celle d'un éventuel amoureux), lui donnant ainsi la force de faire la paix avec ses agissements passés, de retrouver son estime d'elle-même et de se libérer de sa relation toxique avec Émile, qui la manipule sans vergogne pour obtenir d'elle tout ce qu'il veut. [SDM]

Un journal intime très classique, dont cet opus, qui se déroule de juillet à août, est l'occasion de découvrir le point de vue de celle qui est devenue une paria dans les tomes précédents de la série. Au fil des pages s'esquisse le portrait d'une adolescente écrasée par une mère très superficielle, qui scrute tout ce qu'elle mange en la mettant sans cesse en garde contre les calories qui lui "tomberont sur les hanches et les cuisses" en l'empêchant de trouver un bel amoureux. La rencontre de Phil est une bouffée d'air frais dans l'univers de cette jeune fille mal dans sa peau et au final très attachante, qui retrouve son équilibre au contact de ce petit ami qui lui répète qu'elle est tout aussi belle sans maquillage et sans talons hauts. De multiples recettes de gâteaux au chocolat jalonnent la narration au ton très actuel, rédigée dans une typographie large et aérée que viennent pimenter de nombreux courriels et textos. Ces derniers ne sont pas toujours rédigés dans un français correct et intègre de multiples déformations qu'entraîne l'utilisation du langage SMS auxquelles s'ajoute par ailleurs les "Oh maille god!" [sic], dont l'héroïne ponctue constamment son discours. Soulignons que, bien qu'elle ait seize ans, l'adolescente demeure assez ingénue pour son âge et que l'ensemble demeure par conséquent très pudique et accessible aux plus jeunes. [SDM]

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