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La Société des dragons-thé / K. O'Neill ; traduction de Nicholas Aumais.

Par : Collaborateur(s) : Langue : Français Langue d'origine : Anglais Éditeur : Montréal (Québec) Canada : Bayard Canada livres, [2021]Édition : [Nouvelle traduction]Description : 60 pages : principalement des illustrations en couleur ; 31 cmType de contenu :
  • image fixe
  • texte
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9782897704704
Titres uniformes :
  • Tea Dragon Society. Français
Œuvres reliées :
  • Traduction de : O'Neill, Kay (Dessinatrice de bandes dessinées). Tea Dragon Society
  • Suivi de (expression) : O'Neill, Kay (Dessinatrice de bandes dessinées). Tea Dragon Festival. Français
Sujet(s) : Genre/Forme : Classification CDD :
  • 741.5/993 O58s 23
Classification LOC :
  • PZ23.7
Résumé : Greta apprend l'art de la forgerie auprès de sa mère qu'elle admire, mais elle se questionne sur l'utilité de ses apprentissages puisque les épées ne sont plus vraiment utilisées. En trouvant une petite créature verte face à deux loups affamés en retournant chez elle, elle sauve cette dernière en donnant le morceau de viande qu'elle vient d'acheter à ses attaquants. Son père lui append que la bête, qui ressemble à un lézard coiffé de branches feuillues, appartient en fait à Hesekiel, qui possède un magasin de thé à la sortie de la ville. En la redonnant à son propriétaire, Greta confie son intérêt au marchand, qui l'invite à apprendre à soigner les dragons-thés auprès de lui. Ce faisant, elle fait la connaissance d'Erik, un ancien guerrier cloué à un fauteuil, et de Minette, une apprentie prophétesse en proie à des trous de mémoire. [SDM]Critique : Une élégante bande dessinée qui, si elle se déroule dans un univers fantastique peuplé d'humains aux caractéristiques plus ou moins animales, touche à des thèmes bien contemporains en se centrant sur une jeune fille qui a du sang de gobelin et qui s'interroge sur la poursuite de ses passions. En effet, elle hésite à pleinement s'investir dans la forgerie puisqu'elle peut être considérée comme un art éteint, mais découvre que tant que des gens aimeront ce qu'elle produit, cela vaudra la peine de vivre de sa discipline. Qui plus est, elle peut conjuguer celle-ci avec une autre, celle de l'élevage de dragons-thés. Ces derniers sont des créatures aussi adorables qu'intéressantes, étudiées plus en profondeur dans un guide de fin de sept pages. L'intérêt de cette bande dessinée, si ce n'est son graphisme impeccable se déclinant en aplats pastel et en phylactères rosâtres, repose sur l'illustration de personnages nuancés et diversifiés, qu'ils soient atteints de troubles physiques ou psychologiques, ou encore, qu'ils aiment ceux qu'ils veulent, peu importe leur sexe. Il est à noter que l'ouvrage est également publié chez Bliss sous le titre ##Le cercle du dragon-thé##. [SDM]
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Bandes dessinées École des Prairies Bande dessinée DRA v.1 (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 115003544
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Suivi de : Le festival des dragons-thé.

Greta apprend l'art de la forgerie auprès de sa mère qu'elle admire, mais elle se questionne sur l'utilité de ses apprentissages puisque les épées ne sont plus vraiment utilisées. En trouvant une petite créature verte face à deux loups affamés en retournant chez elle, elle sauve cette dernière en donnant le morceau de viande qu'elle vient d'acheter à ses attaquants. Son père lui append que la bête, qui ressemble à un lézard coiffé de branches feuillues, appartient en fait à Hesekiel, qui possède un magasin de thé à la sortie de la ville. En la redonnant à son propriétaire, Greta confie son intérêt au marchand, qui l'invite à apprendre à soigner les dragons-thés auprès de lui. Ce faisant, elle fait la connaissance d'Erik, un ancien guerrier cloué à un fauteuil, et de Minette, une apprentie prophétesse en proie à des trous de mémoire. [SDM]

Une élégante bande dessinée qui, si elle se déroule dans un univers fantastique peuplé d'humains aux caractéristiques plus ou moins animales, touche à des thèmes bien contemporains en se centrant sur une jeune fille qui a du sang de gobelin et qui s'interroge sur la poursuite de ses passions. En effet, elle hésite à pleinement s'investir dans la forgerie puisqu'elle peut être considérée comme un art éteint, mais découvre que tant que des gens aimeront ce qu'elle produit, cela vaudra la peine de vivre de sa discipline. Qui plus est, elle peut conjuguer celle-ci avec une autre, celle de l'élevage de dragons-thés. Ces derniers sont des créatures aussi adorables qu'intéressantes, étudiées plus en profondeur dans un guide de fin de sept pages. L'intérêt de cette bande dessinée, si ce n'est son graphisme impeccable se déclinant en aplats pastel et en phylactères rosâtres, repose sur l'illustration de personnages nuancés et diversifiés, qu'ils soient atteints de troubles physiques ou psychologiques, ou encore, qu'ils aiment ceux qu'ils veulent, peu importe leur sexe. Il est à noter que l'ouvrage est également publié chez Bliss sous le titre ##Le cercle du dragon-thé##. [SDM]

E++ 5.

Pour les jeunes.

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