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Biscuits chinois / Annie Dubreuil.

Par : Éditeur : [Montréal] : Hurtubise, [2019]Description : 231 pages ; 21 cmType de contenu :
  • texte
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9782897814083
  • 289781408X
Sujet(s) : Genre/Forme : Classification CDD :
  • C848/.92 D819b
  • C843/.92 D819b 23
  • C843/.6 D819b 23
  • 843/.92 D819b 23
Résumé : Grâce à ses fortes aptitudes pour plusieurs matières scolaires, Romie a obtenu une bouse pour intégrer une école privée plutôt élitiste. Comme elle a fait son secondaire 1 dans un établissement de quartier en compagnie de sa meilleure amie Flavie, qui habite le même immeuble qu'elle, l'adolescente se sent dépaysée dans cet immense collège où elle peine à retenir les noms de ses camarades de classe, où elle doit porter un uniforme et où tous les clans semblent déjà formés. Au lieu de s'asseoir chaque midi à la table des rejets, Romie opte pour un tête-à-tête avec le rouleau de papier de toilette des cabines du deuxième étage. Les choses changent cependant quand sa mère, s'inquiétant pour son intégration sociale difficile, propose à une dame qui l'a engagée comme femme de ménage d'inciter sa fille à la présenter à ses copines. La dénommée Abigaëlle se démontre gentille et silencieuse, mais Romie se sent à l'écart lorsque son groupe d'amies parle de leurs cours de ski et de la nourriture bio que leurs parents leur imposent, puisqu'elle ne jouit pas du même mode de vie aisé. Tirant son courage dans les messages des biscuits chinois qu'elle se plaît à collectionner, Romie trouvera néanmoins le moyen de s'épanouir en s'inscrivant à la radio étudiante de son école. [SDM]Critique : Un récit du quotidien qui s'égrène lentement, alors que la jeune narratrice fait part non seulement de ses observations des passagers d'autobus qu'elle côtoie chaque matin, de la dynamique de sa salle de classe, mais aussi de ses conversations avec l'équipe de la radio, qui rendent ses journées un peu plus gaies. Avant son adhésion à ce club, qui survient seulement vers la moitié du roman, le ton est plutôt sobre, même si on tente des pointes d'humour par-ci par-là et seuls les messages contenus dans les biscuits chinois font sourire. De plus, la jeune narratrice semble très lunatique et indifférente face à ses apprentissages scolaires, ce qui rend son diagnostic de douance assez invraisemblable. [SDM]
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Monographie École du Havre-Jeunesse Roman DUBR (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 009010185
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Grâce à ses fortes aptitudes pour plusieurs matières scolaires, Romie a obtenu une bouse pour intégrer une école privée plutôt élitiste. Comme elle a fait son secondaire 1 dans un établissement de quartier en compagnie de sa meilleure amie Flavie, qui habite le même immeuble qu'elle, l'adolescente se sent dépaysée dans cet immense collège où elle peine à retenir les noms de ses camarades de classe, où elle doit porter un uniforme et où tous les clans semblent déjà formés. Au lieu de s'asseoir chaque midi à la table des rejets, Romie opte pour un tête-à-tête avec le rouleau de papier de toilette des cabines du deuxième étage. Les choses changent cependant quand sa mère, s'inquiétant pour son intégration sociale difficile, propose à une dame qui l'a engagée comme femme de ménage d'inciter sa fille à la présenter à ses copines. La dénommée Abigaëlle se démontre gentille et silencieuse, mais Romie se sent à l'écart lorsque son groupe d'amies parle de leurs cours de ski et de la nourriture bio que leurs parents leur imposent, puisqu'elle ne jouit pas du même mode de vie aisé. Tirant son courage dans les messages des biscuits chinois qu'elle se plaît à collectionner, Romie trouvera néanmoins le moyen de s'épanouir en s'inscrivant à la radio étudiante de son école. [SDM]

Un récit du quotidien qui s'égrène lentement, alors que la jeune narratrice fait part non seulement de ses observations des passagers d'autobus qu'elle côtoie chaque matin, de la dynamique de sa salle de classe, mais aussi de ses conversations avec l'équipe de la radio, qui rendent ses journées un peu plus gaies. Avant son adhésion à ce club, qui survient seulement vers la moitié du roman, le ton est plutôt sobre, même si on tente des pointes d'humour par-ci par-là et seuls les messages contenus dans les biscuits chinois font sourire. De plus, la jeune narratrice semble très lunatique et indifférente face à ses apprentissages scolaires, ce qui rend son diagnostic de douance assez invraisemblable. [SDM]

J+ 3.

Pour les jeunes.

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