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Les fées ont soif : théâtre / Denise Boucher ; introd. de Lise Gauvin ; préf. de Claire Lejeune.

Par : Collection : Typo ; 38Détails de publication : Montréal : Editions de l'Hexagone, 1989.Description : 121, [1] p. ; 18 cmISBN :
  • 2892950376 (br.) :
Sujet(s) : Classification CDD :
  • C848.914 B7532f
  • C842.914 B7532f
Classification LOC :
  • PS8553
Résumé : Pour le metteur en scène, Jean-Luc Bastien, la pièce-manifeste raconte l'histoire, sous une forme poétique, "de la conscientisation des femmes". L'oeuvre a suscité une violente controverse, a été censurée, etc., parce que la volonté explicite de l'auteure va à l'encontre de convictions très répandues: elle cherche à "exorciser l'unique, terrible et répressif modèle des femmes, la Vierge et la vierge". Louisette Dussault - une des comédiennes qui a joué la pièce - parle, avec raison, de provocation ironique pour situer la démarche de Denise Boucher. Quant à Jean-Luc Robichaud, prieur à Saint-Hyacinthe, insensible au contenu culturel des ##fées##, il n'y voit que des "abominations sur le compte de la très Sainte Vierge Marie". Seize pages d'introduction, six de préface. Une pièce-choc dont on peut considérer la violence comme "bénéfiquement subversive" (p. 27). [SDM]
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Monographie École du Havre-Jeunesse Documentaire 842.914 BOUC (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible B01955
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Réimpr. 1994.

Bibliogr.: p. 121-[122]

Pour le metteur en scène, Jean-Luc Bastien, la pièce-manifeste raconte l'histoire, sous une forme poétique, "de la conscientisation des femmes". L'oeuvre a suscité une violente controverse, a été censurée, etc., parce que la volonté explicite de l'auteure va à l'encontre de convictions très répandues: elle cherche à "exorciser l'unique, terrible et répressif modèle des femmes, la Vierge et la vierge". Louisette Dussault - une des comédiennes qui a joué la pièce - parle, avec raison, de provocation ironique pour situer la démarche de Denise Boucher. Quant à Jean-Luc Robichaud, prieur à Saint-Hyacinthe, insensible au contenu culturel des ##fées##, il n'y voit que des "abominations sur le compte de la très Sainte Vierge Marie". Seize pages d'introduction, six de préface. Une pièce-choc dont on peut considérer la violence comme "bénéfiquement subversive" (p. 27). [SDM]

A 5.

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