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Ils étaient venus pour-- : théâtre / Marie Laberge.

Par : Collection : Théâtre (Boréal (Firme))Détails de publication : [Montréal] : Boréal, 1997.Description : 141 p. : ill. ; 22 cmISBN :
  • 2890528464 (br.)
Classification CDD :
  • C848.914 L117i 21
  • C842.914 L117i 21
Classification LOC :
  • PS8573
Résumé : "Quand on s'trouve pas d'job dans l'coin, y faut partir..." (p. 131) constate Ghyslain dit Tit-casse, l'un de ces fantômes de Val-Jalbert (Lac-Saint-Jean) revenus sur scène pour raconter comment ils ont été victimes "d'un des plus spectaculaires ratés qu'a connus le développement industriel de type capitaliste" pratiqué au Québec, au début du siècle. Une histoire de dépossession, par la bouche et dans les mots de ceux qui furent les victimes de l'Histoire et voudraient en devenir les artisans (cf. la préface de l'édition de 1981). Une pièce qui se déroule de 1902 à 1927, qui vise à l'identification émotive et au "vif plaisir de compassion" (?). Dossier proposant un entretien de Marie Laberge avec P. Wickham et le compositeur de la musique de la pièce, Pierre Potvin (cf. p. 127-141). L'oeuvre y est décrite en allégorie de la dépossession, et du rêve qui habite chaque humain. [SDM]
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Monographie École du Havre-Jeunesse Documentaire 842.914 LABE (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible B13200
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Martine R.-Corrivault. Le Soleil,

"Quand on s'trouve pas d'job dans l'coin, y faut partir..." (p. 131) constate Ghyslain dit Tit-casse, l'un de ces fantômes de Val-Jalbert (Lac-Saint-Jean) revenus sur scène pour raconter comment ils ont été victimes "d'un des plus spectaculaires ratés qu'a connus le développement industriel de type capitaliste" pratiqué au Québec, au début du siècle. Une histoire de dépossession, par la bouche et dans les mots de ceux qui furent les victimes de l'Histoire et voudraient en devenir les artisans (cf. la préface de l'édition de 1981). Une pièce qui se déroule de 1902 à 1927, qui vise à l'identification émotive et au "vif plaisir de compassion" (?). Dossier proposant un entretien de Marie Laberge avec P. Wickham et le compositeur de la musique de la pièce, Pierre Potvin (cf. p. 127-141). L'oeuvre y est décrite en allégorie de la dépossession, et du rêve qui habite chaque humain. [SDM]

J++A 4.

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