Kaijû girl carameliser. 5 / Spica Aoki ; traduction, Océane Tamalet.

Kuroe Akaishi a 16 ans et souffre depuis sa naissance d'une maladie extrêmement rare qui s'attaque à certaines parties de son corps en faisant pousser des excroissances monstrueuses au gré de l'intensité de ses émotions. Faisant tout pour cacher son état, Kuroe préfère rester en retrait et ne pas se mêler aux jeunes de son âge. Toutefois, lorsqu'Arata Minami, le garçon le plus populaire de l'école et étoile montante d'Instagram s'intéresse à elle, Kuroe a du mal à contrôler toute l'agitation qui brûle à l'intérieur d'elle et se transforme momentanément en énorme kaijû (un monstre à la Godzilla) qui sème l'effroi à travers la ville. [SDM]

Kuroe est une adolescente solitaire par la force des choses et détonne du lot, ce qui lui attise parfois des remarques désobligeantes de ses camarades de classe. Quand le garçon le plus convoité de l'école veut apprendre à la connaître, ses adoratrices manifestent une certaine jalousie à l'égard de Kuroe. Une série qui tend à aller au-delà des apparences et qui aborde les premiers émois amoureux et l'acceptation de soi. Alors que l'adolescente est confrontée à un sentiment qui lui était jusqu'alors totalement inconnu, sa mère lui apprend qu'il s'agit sans doute d'excitation sexuelle. Porté par des dessins où sont perceptibles les émotions et la vulnérabilité de l'adolescente, dans des décors citadins minutieux, on joue habilement avec les genres, rendant l'ensemble totalement kawaï. [SDM]

J 4.

Texte en français.