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Lettre à un·e jeune écologiste / Karel Mayrand.

Par : Collection : Rebelles climatiquesÉditeur : Montréal, Québec : KATA, [2022]Description : 142 pages : 1 illustration ; 21 cmType de contenu :
  • texte
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9782925077213
  • 2925077218
Sujet(s) : Genre/Forme : Classification CDD :
  • 363.738/74 M474L 23/fre/202209
  • 363.73874 M4743L 23/fre/202209
Classification LOC :
  • QC903.15
Résumé : Qu'est-ce qui rendra réellement la planète plus verte? Recycler ses piles électriques? Planter des arbres? Encourager l'électrification des transports? Ancien directeur de la Fondation David Suzuki pour le Québec et l'Atlantique ainsi que militant écologiste depuis plus de trente ans, Karel Mayrand a observé de près l'impact à grande échelle de différentes mesures environnementales, qui ont connu à la fois l'appui des jeunes et l'opposition de la plus vieille génération. Quand les petites solutions ne suffisent plus, il faut élargir sa pensée et employer les grands moyens pour que des modifications de nature politique et sociale s'effectuent pour préserver notre avenir à tous. Dans cette lettre de 140 pages, ils invitent donc les adolescents, qui se pensent ignorés et démunis de tout pouvoir dans ce débat, à provoquer des changements systémiques et à rêver d'un monde meilleur. Il ne peut ainsi les encourager à mener ce combat de toute une vie sans aborder l'écoanxiété, entre autres celle qu'il a lui-même vécue au sein de son parcours, mais cela n'entache pas son optimisme alors qu'il cite d'autres exemples inspirants d'acteurs de différents milieux qui sont parvenus à relever d'énormes défis malgré leur jeune âge, l'indifférence de leurs concitoyens, les campagnes de désinformation et les inégalités sociales qui persistent. [SDM]Critique : S'il aborde de nombreuses défaillances de notre société actuelle, qui vont bien au-delà du seul débat écologique (colonialisme, extrémisme, racisme, désinformation, troubles psychologiques), l'auteur ne cesse jamais d'encourager les jeunes lecteurs à amener leur lutte à un autre niveau afin de susciter des changements positifs permanents. Il montre ainsi avec doigté les racines du désastre écologique dans de multiples sphères sociopolitiques, ce qui l'incite à conclure que, pour mener leur vision, c'est tout un monde que les adolescents doivent modifier au cours de leur vie. Des exemples pertinents, notamment celui des suffragettes ou des jeunes ingénieurs du programme Apollo, sont de ce fait mis de l'avant pour démontrer que tout est possible, alors les paragraphes parfois denses et étriqués n'emploient jamais de ton paternaliste pour traiter du sujet. [SDM]
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Monographie École de l'Évolution Documentaire 363.738 (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 026002747
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Qu'est-ce qui rendra réellement la planète plus verte? Recycler ses piles électriques? Planter des arbres? Encourager l'électrification des transports? Ancien directeur de la Fondation David Suzuki pour le Québec et l'Atlantique ainsi que militant écologiste depuis plus de trente ans, Karel Mayrand a observé de près l'impact à grande échelle de différentes mesures environnementales, qui ont connu à la fois l'appui des jeunes et l'opposition de la plus vieille génération. Quand les petites solutions ne suffisent plus, il faut élargir sa pensée et employer les grands moyens pour que des modifications de nature politique et sociale s'effectuent pour préserver notre avenir à tous. Dans cette lettre de 140 pages, ils invitent donc les adolescents, qui se pensent ignorés et démunis de tout pouvoir dans ce débat, à provoquer des changements systémiques et à rêver d'un monde meilleur. Il ne peut ainsi les encourager à mener ce combat de toute une vie sans aborder l'écoanxiété, entre autres celle qu'il a lui-même vécue au sein de son parcours, mais cela n'entache pas son optimisme alors qu'il cite d'autres exemples inspirants d'acteurs de différents milieux qui sont parvenus à relever d'énormes défis malgré leur jeune âge, l'indifférence de leurs concitoyens, les campagnes de désinformation et les inégalités sociales qui persistent. [SDM]

S'il aborde de nombreuses défaillances de notre société actuelle, qui vont bien au-delà du seul débat écologique (colonialisme, extrémisme, racisme, désinformation, troubles psychologiques), l'auteur ne cesse jamais d'encourager les jeunes lecteurs à amener leur lutte à un autre niveau afin de susciter des changements positifs permanents. Il montre ainsi avec doigté les racines du désastre écologique dans de multiples sphères sociopolitiques, ce qui l'incite à conclure que, pour mener leur vision, c'est tout un monde que les adolescents doivent modifier au cours de leur vie. Des exemples pertinents, notamment celui des suffragettes ou des jeunes ingénieurs du programme Apollo, sont de ce fait mis de l'avant pour démontrer que tout est possible, alors les paragraphes parfois denses et étriqués n'emploient jamais de ton paternaliste pour traiter du sujet. [SDM]

J 5.

Pour les jeunes de 12 à 17 ans.

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