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Je m'appelle Frida Kahlo / texte de Sophie Faucher ; illustrations de Cara Carmina.

Par : Collaborateur(s) : Éditeur : [Montréal] : Édito jeunesse, [2022]Description : 1 volume (non paginé) : illustrations en couleur ; 32 cmType de contenu :
  • texte
  • image fixe
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9782898260889
Titres uniformes :
  • Œuvre. Extraits
Contient l'ouvrage :
  • Faucher, Sophie, 1958- Frida, c'est moi
  • Faucher, Sophie, 1958- Moi, c'est Frida Kahlo
Sujet(s) : Genre/Forme : Classification CDD :
  • 927/.59972 K12f 23/fre/202211
Classification LOC :
  • ND259.K33
Résumé : On retrace ici la vie de la peintre mexicaine Frida Kalho en abordant des parcelles de sa vie. Ainsi, on en apprend davantage sur sa famille, la maladie (poliomyélite) dont elle souffre et qui la fait boiter, sa première rencontre avec le peintre Diego Rivera qui deviendra son époux, l'accident d'autobus dont elle a été victime et qui lui a permis de développer son talent pour la peinture, son déménagement à San Francisco, son retour à Mexico dans la maison que Diego et elle se sont fait construire, sa séparation, sa série d'autoportraits, son amour des animaux, son invitation à participer à une exposition au Louvre au cours de laquelle elle a rencontré plusieurs peintres et poètes marquants de l'époque et finalement son remariage avec Diego. [SDM]Critique : Ouvrage documentaire dans lequel on retrouve la compilation des deux albums ##Frida, c'est moi## et ##Moi, c'est Frida Kahlo## publiés précédemment. Chaque double page révèle des événements de la vie de la peintre mexicaine, son quotidien ainsi que ses états d'âme, le tout présenté dans un texte accessible et narré par la jeune fille. Des dessins de synthèse au trait arrondi et aux couleurs pimpantes transposent parfaitement l'atmosphère de l'Amérique latine et permet du même souffle de faire découvrir la culture mexicaine au lecteur. À noter tout de même qu'à plusieurs reprises on appuie inutilement sur la corpulence de Diego Rivera, le qualifiant notamment "d'éléphant" (p. 25) et de "gros patapouf" (p.33), des appellations qui ne peuvent que faire sourciller... [SDM]
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Type de document Bibliothèque propriétaire Localisation Cote Statut Date d'échéance Code-barres Reservations d'exemplaire
Monographie École de la Source d'Autray Premier documentaire 927 (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 006004040
Monographie École des Prairies Documentaire 927 (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 115000036
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"Je m'appelle Frida Kahlo est une compilation des albums Frida, c'est moi et Moi, c'est Frida Kahlo"--Page en regard de la page de titre.

On retrace ici la vie de la peintre mexicaine Frida Kalho en abordant des parcelles de sa vie. Ainsi, on en apprend davantage sur sa famille, la maladie (poliomyélite) dont elle souffre et qui la fait boiter, sa première rencontre avec le peintre Diego Rivera qui deviendra son époux, l'accident d'autobus dont elle a été victime et qui lui a permis de développer son talent pour la peinture, son déménagement à San Francisco, son retour à Mexico dans la maison que Diego et elle se sont fait construire, sa séparation, sa série d'autoportraits, son amour des animaux, son invitation à participer à une exposition au Louvre au cours de laquelle elle a rencontré plusieurs peintres et poètes marquants de l'époque et finalement son remariage avec Diego. [SDM]

Ouvrage documentaire dans lequel on retrouve la compilation des deux albums ##Frida, c'est moi## et ##Moi, c'est Frida Kahlo## publiés précédemment. Chaque double page révèle des événements de la vie de la peintre mexicaine, son quotidien ainsi que ses états d'âme, le tout présenté dans un texte accessible et narré par la jeune fille. Des dessins de synthèse au trait arrondi et aux couleurs pimpantes transposent parfaitement l'atmosphère de l'Amérique latine et permet du même souffle de faire découvrir la culture mexicaine au lecteur. À noter tout de même qu'à plusieurs reprises on appuie inutilement sur la corpulence de Diego Rivera, le qualifiant notamment "d'éléphant" (p. 25) et de "gros patapouf" (p.33), des appellations qui ne peuvent que faire sourciller... [SDM]

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