Bonnes vacances, Palomino / [texte de] Michaël Escoffier ; [illustrations de] Matthieu Maudet.
Éditeur : Paris 6e : L'École des loisirs, [2022]Date du droit d'auteur : ©2022Description : 25 pages non numérotées : illustrations en couleur ; 26 cmType de contenu :- texte
- sans médiation
- volume
- 9782211319379
- 848/.92 E74b 23
- 843/.92 E74b 23
Type de document | Bibliothèque propriétaire | Localisation | Cote | Statut | Date d'échéance | Code-barres | Reservations d'exemplaire | |
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Albums | École des Prairies | Album de fiction | ESC (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) | Disponible | 115000179 |
Après avoir "bouclé sa valise, arrosé sa plante verte [et] enfilé ses lunettes de soleil" (p. [2]), Palomino est fin prêt pour ce grand voyage en famille vers l'océan. Et, même si ses parents se sont montrés catégoriques en affirmant qu'il était hors de question d'effectuer "six heures de route avec une petite fille qui s'agite à l'arrière" (p. [3]), le poulain a trouvé un moyen pour que Scarlett l'accompagne. En témoignent les bruits bizarres provenant du coffre du véhicule qui interpellent ses parents après quelques kilomètres! C'est donc parti pour un voyage à la mer qui s'inscrit sous le signe des jeux endiablés, des grandes découvertes, ainsi que des petites et grandes frousses, les deux copains se laissant surprendre par la marée montante pendant une chasse au trésor et Palomino se montrant très effrayé à l'idée de rencontrer des crabes après s'être fait serrer la pince par l'un d'eux! Une belle rencontre avec un duo formé d'une pouliche et d'un jeune garçon vient par ailleurs illuminer ce séjour estival riche en émotions... [SDM]
Une série de petites fictions brodée autour d'une inversion des rôles cocasse et farfelue, où les chevaux anthropomorphisés vivent comme les humains, tandis que les enfants sont présentés comme vivant en plein air. L'humour du texte plein d'allant est renforcé par les illustrations de synthèse naïves, qui marient des crayonnés noirs à des aplats de couleurs vives à dominante jaune, bleue, verte et orangée, afin de camper le bestiaire aux mimiques caricaturales franchement hilarantes dans des décors épurés où l'immensité de la mer côtoie les étendues de sable blond, ainsi que d'immenses rochers sur lesquels poussent des arbustes verdoyants. Une belle diversité de plans et des dialogues rapportés dans des phylactères ajoutent encore au dynamisme de la narration, qui ne manque pas de rebondissements. [SDM]
ME+ 4.
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