Cent ou deux cents grillons / Grégoire Solotareff ; illustrations de Nadja.
Collection : Mouche (L'École des loisirs (Firme))Éditeur : Paris 6e : L'École des loisirs, [2023]Date du droit d'auteur : ©2023Description : 45 pages : illustrations en couleur ; 19 cmType de contenu :- texte
- sans médiation
- volume
- 9782211324694
- 100 ou 200 grillons
- Adaptation de (oeuvre): Cendrillon
- 848/.914 S689c 23
- 843/.914 S689c 23
Type de document | Bibliothèque propriétaire | Localisation | Cote | Statut | Date d'échéance | Code-barres | Reservations d'exemplaire | |
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Monographie | École des Prairies | Roman | SOL (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) | Disponible | 115000977 |
Libre adaptation du conte traditionnel Cendrillon.
À peine son père s'est-il remarié avec Brunhilde, une femme hautaine et fière, que la jeune Zélie subit la mauvaise humeur de sa nouvelle belle-mère, qui lui attribue les tâches les plus ingrates. Pour se soulager, elle réunit tous les grillons de la maison, qui doivent bien être cent ou deux cents, et écoute les histoires de ces derniers dès qu'elle a un moment de liberté. Son horaire se charge toutefois quand un prince invite toutes les jeunes filles des environs à un bal et que les demi-soeurs de Zélie exigent qu'elle prépare leurs vêtements et leurs coiffures. Une fois celles-ci parties pour la réception, la pauvre fille se permet de pleurer, mais cela incite les grillons à rassembler fruits, rongeurs et reptiles pour lui constituer un attelage qui la mènera elle aussi au bal. Or, Zélie ignore que le prince Étienne est passionné par les insectes et qu'il passera la soirée à tenter de les attraper. Quand l'événement prend fin, le seul moyen qu'il a à sa disposition pour retracer les grillons... est de se servir du soulier que Zélie a abandonné derrière elle! [SDM]
Une variation humoristique du célèbre conte de Perrault, narrée savoureusement sur un ton pince-sans-rire, qui conserve malgré tout un vocabulaire et des tournures de phrase relevées. Celle-ci paraît à la suite d'une longue série de parodies signées par Solotareff et Nadja à L'École des loisirs, qui reprennent les intrigues classiques de ces récits bien connus tout en se permettant quelques anachronismes afin d'y apporter des réflexions plus contemporaines. Les pages se chargent de leur côté plus ou moins en textes pour laisser l'espace aux dessins à l'encre naïfs, colorés à l'aquarelle, qui frétillent de personnages affublés d'un nez et d'une bouche allongés, comme un museau. [SDM]
E 3.
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