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De cape et de mots / adaptation du roman De cape et de mots, Flore Vesco et Kerascoët ; dessins et couleurs, Kerascoët.

Par : Collaborateur(s) : Éditeur : Paris ; Montréal : Dargaud, [2022]Date du droit d'auteur : ©2022Édition : Première éditionDescription : 101 pages : principalement des illustrations en couleur ; 32 cmType de contenu :
  • image fixe
  • texte
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9782205082494
Titres uniformes :
  • De cape et de mots (Bande dessinée)
Œuvres reliées :
  • Adaptation de (oeuvre): Vesco, Flore, 1981- De cape & de mots
Sujet(s) : Genre/Forme : Classification CDD :
  • 741.5/944 V575d 23
Résumé : Fille de nobles désargentés, aînée de six frères, la comtesse Serine n'est pas du tout féminine et coquette. Afin d'échapper à un mariage arrangé, elle décide de fuir la maison familiale. Malgré sa méconnaissance des bonnes manières, elle se rend au palais, décidée à devenir l'une des demoiselles de compagnie de la reine acariâtre, qui souffle le chaud et le froid sur son petit monde. Très vite, elle se met le secrétaire malintentionné à dos. Son seul ami sera l'apprenti bourreau, le gentil Léon, qui lui ouvre la porte de ses cachots. Finalement perdue, noyée presque au sens propre, Serine renaît sous les traits d'un bouffon qui devient rapidement le favori du roi, auquel elle redonne le sourire. Jusqu'à quand Serine tiendra-t-elle en équilibre sur le fil des tocades royales? [SDM]Critique : Adaptation en bandes dessinées d'un roman offrant une belle parodie de la vie de cour, magnifiquement mise en images par des illustrations réalisées à l'aquarelle et à l'encre, où les teintes pastel abondent. Dépourvus de cases les circonscrivant, les dessins détaillés traduisent admirablement bien les traits de caractère des personnages à travers leurs expressions faciales. Serine, qui est impulsive et agit à l'instinct, sauve la reine à plusieurs reprises du ridicule, ne s'épargne pas elle-même les jalousies, mais toujours brode, invente des mots comme les "esperlunes" et des "lifrejoles" qui mettent la cour en émoi. La langue et les mots sont sans doute ce qui fait de cette aventure rocambolesque un récit fascinant. Quelle ironie tout de même quand on sait que la jeune femme est analphabète! Derrière le lutin malicieux que devient l'intrépide héroïne et l'histoire en cavalcade, il y a un vrai plaisir de l'écriture, du vocabulaire varié et du mot juste. En revêtant les habits de bouffon, Serine tente de dévoiler les secrets du palais et les intentions malveillantes du secrétaire qui ne souhaite que la mort du roi. Une fois chose faite, la jeune femme est injustement accusée, mais la vérité finit, heureusement, par triompher. À noter, la présence de quelques images comprenant de la nudité qui pourraient ne pas convenir aux plus jeunes. [SDM]
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Type de document Bibliothèque propriétaire Localisation Cote Statut Date d'échéance Code-barres Reservations d'exemplaire
Bandes dessinées École Thérèse-Martin Bande dessinée BD VESC (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 103BIB000713
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Fille de nobles désargentés, aînée de six frères, la comtesse Serine n'est pas du tout féminine et coquette. Afin d'échapper à un mariage arrangé, elle décide de fuir la maison familiale. Malgré sa méconnaissance des bonnes manières, elle se rend au palais, décidée à devenir l'une des demoiselles de compagnie de la reine acariâtre, qui souffle le chaud et le froid sur son petit monde. Très vite, elle se met le secrétaire malintentionné à dos. Son seul ami sera l'apprenti bourreau, le gentil Léon, qui lui ouvre la porte de ses cachots. Finalement perdue, noyée presque au sens propre, Serine renaît sous les traits d'un bouffon qui devient rapidement le favori du roi, auquel elle redonne le sourire. Jusqu'à quand Serine tiendra-t-elle en équilibre sur le fil des tocades royales? [SDM]

Adaptation en bandes dessinées d'un roman offrant une belle parodie de la vie de cour, magnifiquement mise en images par des illustrations réalisées à l'aquarelle et à l'encre, où les teintes pastel abondent. Dépourvus de cases les circonscrivant, les dessins détaillés traduisent admirablement bien les traits de caractère des personnages à travers leurs expressions faciales. Serine, qui est impulsive et agit à l'instinct, sauve la reine à plusieurs reprises du ridicule, ne s'épargne pas elle-même les jalousies, mais toujours brode, invente des mots comme les "esperlunes" et des "lifrejoles" qui mettent la cour en émoi. La langue et les mots sont sans doute ce qui fait de cette aventure rocambolesque un récit fascinant. Quelle ironie tout de même quand on sait que la jeune femme est analphabète! Derrière le lutin malicieux que devient l'intrépide héroïne et l'histoire en cavalcade, il y a un vrai plaisir de l'écriture, du vocabulaire varié et du mot juste. En revêtant les habits de bouffon, Serine tente de dévoiler les secrets du palais et les intentions malveillantes du secrétaire qui ne souhaite que la mort du roi. Une fois chose faite, la jeune femme est injustement accusée, mais la vérité finit, heureusement, par triompher. À noter, la présence de quelques images comprenant de la nudité qui pourraient ne pas convenir aux plus jeunes. [SDM]

J 4.

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