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Image provenant de Coce

Retour aux Indes / scénario, Audrey Alwett ; dessin, Nora Moretti.

Par : Collaborateur(s) : Collection : Alwett, Audrey, Princesse Sara ; 5. | BlackberryDétails de publication : Toulon : Soleil, 2012.Description : 46 p. : principalement des ill. en coul. ; 30 cmISBN :
  • 9782302024120 (rel.) :
Sujet(s) : Classification CDD :
  • 848/.92 A477r 23
  • 843/.92 A477r 23
Résumé : Dix ans se sont écoulés depuis la fin du premier cycle de la série. Ce second volet de la saga donne ainsi à retrouver une Sara Crewe qui a bien grandi et qui compte mettre à profit l'immense fortune que lui a léguée son père afin de récupérer la fabrique d'automates dont sa famille ruinée a dû se départir de nombreuses années auparavant. Mais l'usine appartient désormais aux Delatour et le patriarche refuse obstinément de vendre. En compagnie de Becky et de Ram Dass, Sara regagne donc Pondichéry et convainc le vieil homme de l'embaucher comme ingénieur, sous le nom d'Émilie Saint-John. Le talent dont elle fait montre donne un regain de vie non seulement à l'entreprise qui piétine, mais également à Léopold Delatour, le jeune héritier, qui tombe sous son charme et s'intéresse pour la première fois à l'activité industrielle qui le rebutait jusqu'alors. Mais les journalistes, qui désirent mettre un visage sur l'héritière des mines de diamants Crewe-Carrisford qui a jusqu'alors mystérieusement refusé de dévoiler son visage, menacent de faire échouer les plans de Sara... [SDM]Critique : Un second cycle qui offre une suite très réussie aux aventures du personnage de Frances Hodgson Burnett, que l'on retrouve ici en jeune beauté volontaire, sûre d'elle et extrêmement talentueuse, elle qui a hérité du talent de sa famille pour la création d'automates. L'auteure a su exploiter avec talent les rouages littéraires qui caractérisaient l'original (à commencer par le jeu sur la véritable identité de l'héroïne qui attise ici savamment le suspense), et ce, en les renouvelant au sein d'une intrigue captivante qui s'adresse à un public un peu plus âgé que le début de la série. Un pari très réussi et fort bien servi par le graphisme chaleureux et intimiste qui plante l'action dans des décors bourgeois d'un grand raffinement au sein desquels évoluent des protagonistes aux grands yeux légèrement inspirés des shojos. À suivre! [SDM]
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Bandes dessinées École Thérèse-Martin Bande dessinée BD PRIN (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 103bib002393
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"La suite imaginée des oeuvres de Frances Hodgson Burnett"--P. [4] de la couv.

Dix ans se sont écoulés depuis la fin du premier cycle de la série. Ce second volet de la saga donne ainsi à retrouver une Sara Crewe qui a bien grandi et qui compte mettre à profit l'immense fortune que lui a léguée son père afin de récupérer la fabrique d'automates dont sa famille ruinée a dû se départir de nombreuses années auparavant. Mais l'usine appartient désormais aux Delatour et le patriarche refuse obstinément de vendre. En compagnie de Becky et de Ram Dass, Sara regagne donc Pondichéry et convainc le vieil homme de l'embaucher comme ingénieur, sous le nom d'Émilie Saint-John. Le talent dont elle fait montre donne un regain de vie non seulement à l'entreprise qui piétine, mais également à Léopold Delatour, le jeune héritier, qui tombe sous son charme et s'intéresse pour la première fois à l'activité industrielle qui le rebutait jusqu'alors. Mais les journalistes, qui désirent mettre un visage sur l'héritière des mines de diamants Crewe-Carrisford qui a jusqu'alors mystérieusement refusé de dévoiler son visage, menacent de faire échouer les plans de Sara... [SDM]

Un second cycle qui offre une suite très réussie aux aventures du personnage de Frances Hodgson Burnett, que l'on retrouve ici en jeune beauté volontaire, sûre d'elle et extrêmement talentueuse, elle qui a hérité du talent de sa famille pour la création d'automates. L'auteure a su exploiter avec talent les rouages littéraires qui caractérisaient l'original (à commencer par le jeu sur la véritable identité de l'héroïne qui attise ici savamment le suspense), et ce, en les renouvelant au sein d'une intrigue captivante qui s'adresse à un public un peu plus âgé que le début de la série. Un pari très réussi et fort bien servi par le graphisme chaleureux et intimiste qui plante l'action dans des décors bourgeois d'un grand raffinement au sein desquels évoluent des protagonistes aux grands yeux légèrement inspirés des shojos. À suivre! [SDM]

J 4.

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