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L'alerte au feu / [texte de] André Marois ; [illustrations de] Célia Marquis.

Par : Collaborateur(s) : Collection : Marois, André, Classe de madame Tzatziki ; Éditeur : Montréal (Québec) : La Pastèque, [2020]Date du droit d'auteur : ©2020Description : 149 pages non numérotées : illustrations en couleur ; 22 cmType de contenu :
  • texte
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9782897770938
Sujet(s) : Genre/Forme : Classification CDD :
  • C848/.92 M354a 23
  • C843/.92 M354a 23
Résumé : En attendant la fin des travaux de décontamination visant à éradiquer les moisissures de l'école, Marie et ses camarades suivent leurs cours dans des modules préfabriqués installés dans la cour, où il fait une chaleur suffocante. Aussi, lorsque l'alarme d'incendie retentit, les élèves de la classe de Mme Tzatziki, croyant à un simple exercice, sont bien heureux d'aller respirer un peu d'air frais. À leur grand étonnement, toutefois, l'incendie est bien réel. Marie et son ami Mustapha sont bientôt convoqués au bureau du directeur, puisqu'ils ont été aperçus dans la cour peu avant l'incident. Alors que Mustapha, qui s'était rendu aux toilettes, se questionne à savoir s'il a été pointé du doigt parce qu'il est noir, Marie lui confie qu'elle était pour sa part aller se faire des rôties avec des tranches de pain volées à la cafétéria étant donné qu'elle ne mange plus à sa faim depuis que sa mère est au chômage. Ce qu'elle n'ose pas avouer pour ne pas mettre plus de pression à cette dernière. Avec l'aide de leur ami Marin, les deux enfants tenteront de démasquer le véritable coupable dans une enquête riche en surprises... [SDM]Critique : Un roman graphique proposant un petit polar hautement sympathique dans lequel humour et suspense se marient avec bonheur au gré d'une enquête qui s'échelonne du lundi au jeudi matin et qui entraîne dans son sillage son lot de rebondissements surprenants. Empathiques et vifs d'esprit, les héros mènent leur enquête au gré d'une narration à la première personne, qui se clôt sur un dénouement pétillant alors que les élèves échappent encore une fois au contrôle de mathématiques qu'ils avaient évité en raison de l'alarme d'incendie, cette fois en raison d'un déluge provoqué par l'oncle de Marin, pompier de profession. Le récit, rédigé dans une langue simple, alerte et efficace, mêle courts paragraphes de texte suivi et planches de BD plus traditionnelles, le tout efficacement mis en images par des illustrations naïves au trait rond et expressif. Une belle réussite, pleine de fraîcheur et d'inventivité, qui est subtilement l'occasion de susciter de petites réflexions sur le racisme (avec le questionnement de Mustapha) et le quotidien difficile des enfants de chômeurs. [SDM]
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Bandes dessinées École des Prairies Bande dessinée MAR (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 115003506
Bandes dessinées École Ste-Anne (004) 2e cycle - classes MAR (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible Groupe 301 004000334
Bandes dessinées Modèle Primaire MAR (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible
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"La suite du Voleur de sandwichs!"--Étiquette.

En attendant la fin des travaux de décontamination visant à éradiquer les moisissures de l'école, Marie et ses camarades suivent leurs cours dans des modules préfabriqués installés dans la cour, où il fait une chaleur suffocante. Aussi, lorsque l'alarme d'incendie retentit, les élèves de la classe de Mme Tzatziki, croyant à un simple exercice, sont bien heureux d'aller respirer un peu d'air frais. À leur grand étonnement, toutefois, l'incendie est bien réel. Marie et son ami Mustapha sont bientôt convoqués au bureau du directeur, puisqu'ils ont été aperçus dans la cour peu avant l'incident. Alors que Mustapha, qui s'était rendu aux toilettes, se questionne à savoir s'il a été pointé du doigt parce qu'il est noir, Marie lui confie qu'elle était pour sa part aller se faire des rôties avec des tranches de pain volées à la cafétéria étant donné qu'elle ne mange plus à sa faim depuis que sa mère est au chômage. Ce qu'elle n'ose pas avouer pour ne pas mettre plus de pression à cette dernière. Avec l'aide de leur ami Marin, les deux enfants tenteront de démasquer le véritable coupable dans une enquête riche en surprises... [SDM]

Un roman graphique proposant un petit polar hautement sympathique dans lequel humour et suspense se marient avec bonheur au gré d'une enquête qui s'échelonne du lundi au jeudi matin et qui entraîne dans son sillage son lot de rebondissements surprenants. Empathiques et vifs d'esprit, les héros mènent leur enquête au gré d'une narration à la première personne, qui se clôt sur un dénouement pétillant alors que les élèves échappent encore une fois au contrôle de mathématiques qu'ils avaient évité en raison de l'alarme d'incendie, cette fois en raison d'un déluge provoqué par l'oncle de Marin, pompier de profession. Le récit, rédigé dans une langue simple, alerte et efficace, mêle courts paragraphes de texte suivi et planches de BD plus traditionnelles, le tout efficacement mis en images par des illustrations naïves au trait rond et expressif. Une belle réussite, pleine de fraîcheur et d'inventivité, qui est subtilement l'occasion de susciter de petites réflexions sur le racisme (avec le questionnement de Mustapha) et le quotidien difficile des enfants de chômeurs. [SDM]

E 4.

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