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Il fait trop clair pour dormir / Jean-François Bernard ; [illustration, Isabelle Langevin].

Par : Collaborateur(s) : Langue : Français, Anglais Collection : Jeune plume (Joey Cornu (Firme))Détails de publication : Rosemère : J. Cornu, 2003.Description : 254 p. : ill. ; 18 cmISBN :
  • 2922976017 (br.) :
Sujet(s) : Classification CDD :
  • C848/.92 B519i 21
  • C843/.92 B519i 21
Résumé : Pour François et ses amis, l'année scolaire - la dernière au secondaire - est marquée par une douloureuse épreuve: le suicide de leur copain Carl. Chacun éprouve une souffrance particulière qui se répercute sur les relations du groupe. François (le narrateur) est très affecté et tente de mesurer la portée des derniers mots de Carl: "il est temps que tu te lèves de bonne heure". Nous le voyons évoluer avec ses amis à travers la vie quotidienne - les cours, la cafétéria, les batailles, les "partys", les sorties. Peu d'adultes apparaissent, sinon un professeur d'anglais tyrannique et un psychologue bien "cool". Petit à petit François sait reconnaître et exprimer ses sentiments, dont son amour pour Marie-Eve et son désir de profiter de la vie. -- Description crue et réaliste de la vie parfois violente d'une bande d'ados, par un auteur à peine plus âgé que ses personnages. Le roman souffre d'un manque de distanciation par rapport au sujet; développements longs et style lourd; dialogues nombreux en mauvais français parlé ("C'est genre m'a inviter la gagne à Alex pis style le clan à Manu..." (p. 113)), avec pour résultat une lecture ardue. Le thème du suicide traité correctement, en ce sens que l'on donne des pistes positives de réflexion; quelques notes et ressources en fin d'ouvrage. [SDM]
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Webographie: p. 252.

Pour François et ses amis, l'année scolaire - la dernière au secondaire - est marquée par une douloureuse épreuve: le suicide de leur copain Carl. Chacun éprouve une souffrance particulière qui se répercute sur les relations du groupe. François (le narrateur) est très affecté et tente de mesurer la portée des derniers mots de Carl: "il est temps que tu te lèves de bonne heure". Nous le voyons évoluer avec ses amis à travers la vie quotidienne - les cours, la cafétéria, les batailles, les "partys", les sorties. Peu d'adultes apparaissent, sinon un professeur d'anglais tyrannique et un psychologue bien "cool". Petit à petit François sait reconnaître et exprimer ses sentiments, dont son amour pour Marie-Eve et son désir de profiter de la vie. -- Description crue et réaliste de la vie parfois violente d'une bande d'ados, par un auteur à peine plus âgé que ses personnages. Le roman souffre d'un manque de distanciation par rapport au sujet; développements longs et style lourd; dialogues nombreux en mauvais français parlé ("C'est genre m'a inviter la gagne à Alex pis style le clan à Manu..." (p. 113)), avec pour résultat une lecture ardue. Le thème du suicide traité correctement, en ce sens que l'on donne des pistes positives de réflexion; quelques notes et ressources en fin d'ouvrage. [SDM]

13+.

J D.

Comprend du texte en anglais.

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