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Kateri et le corbeau / Rollande Boivin.

Par : Éditeur : Montréal (Québec) : Bayard Canada, [2019]Date du droit d'auteur : ©2019Description : 120 pages ; 20 cmType de contenu :
  • texte
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9782897702083 (broché)
Sujet(s) : Genre/Forme : Classification CDD :
  • C848/.92 B685k 23
  • C843/.92 B685k 23
Ressources en ligne : Résumé : Catherine Pelletier ou Kateri Tegushick. À 14 ans, la jeune Métisse porte deux noms, selon les coutumes qu'elle décide d'embrasser. Celles de son père, blanc, ou de sa mère, algonquienne. Elle choisit les secondes à la grande fierté de sa Kuhkum, sa grand-mère, mais l'hiver est rude pour les siens, en cette année 1932, alors que les hommes adultes sont partis à la chasse, que les garçons pêchent et que les collets posés un peu partout restent vides. Pire, les Blancs coupent les arbres afin d'agrandir leur territoire. La grand-mère de Kateri décide ainsi de se rendre au moulin en quête de nourriture, mais ne revient pas. Le Grand Manitou l'aurait enlevée. Folle de colère, l'adolescente trouve du moins du réconfort dans les bras du beau Khaguagui, mais si elle craint de le perdre lui aussi, ses proches disparus lui promettre de réapparaître sous la forme de corbeaux. [SDM]Critique : Narré à la manière d'un poème en prose, ce court roman au rythme lent s'inspire de croyances algonquiennes et de faits historiques, tout en se penchant sur les émois vécus par une adolescente amoureuse devant faire face au froid, à la faim et au deuil. Des références à la culture ilnue (autochtones du Lac-Saint-Jean, à la différence des Innus de la Côte-Nord) et à la littérature amérindienne sont établies en notes de bas de page, tandis que les moeurs des Blancs, avides de territoires et oublieux de leur passé, semblent plutôt irrationnelles. De plus, le lieu et le cadre historique choisis permettent de poser un regard inédit sur la cohabitation de ces deux peuples en sol québécois. [SDM]
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Type de document Bibliothèque propriétaire Localisation Cote Statut Date d'échéance Code-barres Reservations d'exemplaire
Monographie École Thérèse-Martin Roman BOIV (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 103BIB005928
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Inspiré d'une légende algonquienne.

Catherine Pelletier ou Kateri Tegushick. À 14 ans, la jeune Métisse porte deux noms, selon les coutumes qu'elle décide d'embrasser. Celles de son père, blanc, ou de sa mère, algonquienne. Elle choisit les secondes à la grande fierté de sa Kuhkum, sa grand-mère, mais l'hiver est rude pour les siens, en cette année 1932, alors que les hommes adultes sont partis à la chasse, que les garçons pêchent et que les collets posés un peu partout restent vides. Pire, les Blancs coupent les arbres afin d'agrandir leur territoire. La grand-mère de Kateri décide ainsi de se rendre au moulin en quête de nourriture, mais ne revient pas. Le Grand Manitou l'aurait enlevée. Folle de colère, l'adolescente trouve du moins du réconfort dans les bras du beau Khaguagui, mais si elle craint de le perdre lui aussi, ses proches disparus lui promettre de réapparaître sous la forme de corbeaux. [SDM]

Narré à la manière d'un poème en prose, ce court roman au rythme lent s'inspire de croyances algonquiennes et de faits historiques, tout en se penchant sur les émois vécus par une adolescente amoureuse devant faire face au froid, à la faim et au deuil. Des références à la culture ilnue (autochtones du Lac-Saint-Jean, à la différence des Innus de la Côte-Nord) et à la littérature amérindienne sont établies en notes de bas de page, tandis que les moeurs des Blancs, avides de territoires et oublieux de leur passé, semblent plutôt irrationnelles. De plus, le lieu et le cadre historique choisis permettent de poser un regard inédit sur la cohabitation de ces deux peuples en sol québécois. [SDM]

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