The king of fighters : a new beginning. 1 / oeuvre originale, SNK ; manga, Kyoutarou Azuma ; traduction du japonais, Nathalie Lejeune.

D'après le jeu vidéo de SNK.

Parce qu'il est le tout premier champion du tournoi King of fighters et qu'il est désormais à la tête de son organisation, Antonov se considère comme l'être le plus fort du monde. Il met néanmoins au défi quiconque voulant lui ravir la prestigieuse ceinture cornue de venir se mesurer à lui dans l'arène. Les combattants doivent cependant former des équipes de trois qui s'opposeront tour à tour en duel, le premier groupe qui remportera deux victoires pouvant passer au tour suivant, tandis que le second sera éliminé. Des spécialistes d'arts martiaux bien connus et d'autres qui sortent de l'ombre composent ainsi les quinze trios qui s'affronteront, mais pour Shun'ei, de la "Team China", tout ce qui importe est de croiser le poing avec le grand Kyo Kusanagi. [SDM]

Jeu vidéo de combat ayant fait l'objet de quinze éditions depuis ses débuts en arcade en 1994, ##The king of fighters## a déjà été adapté à plusieurs reprises en manga, mais connaît ici une mise à jour en six tomes qui s'appuie sur la galerie de personnages de la quatorzième version du jeu (##King of fighters XIV##, 2016). Le graphisme dynamique jouit ainsi d'une grande clarté pour illustrer cette succession de combats d'arts martiaux qui défient toutes les lois de la physique, mais également de la pudeur, alors que seules les héroïnes (qui ont soit des corps plantureux, soit juvéniles) se retrouvent dans des tenues dénudées et des positions compromettantes. Côté scénario, rien non plus de bien relevé tandis qu'on verse dans la surenchère expressive et les retournements de situation exagérés pour pimenter ces affrontements incessants, tout désignés pour les amateurs d'adrénaline. À partir de 14 ans. [SDM]

J 3.

Texte en français.