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Noël diabolique / Maude Fortier.

Par : Collection : Frissons. Peur bleueÉditeur : Saint-Lambert (Québec) : Frissons sang pour sang québécois, [2022]Description : 142 pages ; 20 cmType de contenu :
  • texte
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9782898410048
  • 2898410047
Sujet(s) : Genre/Forme : Classification CDD :
  • C848/.92 F741n
  • C843/.92 F741n 23/fre/202302
  • C843/.6 F741n 23/fre/202302
  • 843/.92 F741n 23/fre/202302
Résumé : Alix passe le réveillon de Noël dans un hôtel centenaire qui lui semble bien sinistre. Elle est d'ailleurs tout sauf rassurée lorsqu'elle croise Sofia Mattio, une jeune blogueuse à la tête d'une chaîne consacrée aux hôtels hantés du Québec, qui lui apprend que six membres d'une famille ont disparu l'année dernière, pendant l'incendie criminel survenu la veille de Noël, et que le dernier endroit où ils ont été vus vivants est le douzième étage, là où se trouve justement la chambre qu'elle partage avec sa mère monoparentale et son frère Noa. Sa rencontre avec Jade et Mano, qui logeaient à la même enseigne l'année dernière, lui permet par ailleurs d'apprendre que l'incendiaire n'a jamais été arrêté. Mano est d'ailleurs bien décidé à remonter la piste du coupable et l'entraîne malgré elle dans le sous-sol de l'établissement, qui est condamné le temps des rénovations. Ils y découvrent notamment six mannequins au visage strié de noir que quelqu'un a pris le temps de disposer en cercle et de revêtir d'habits de Fêtes. Qui est donc derrière cet arrangement macabre effectué dans un secteur fermé au public? Et pourquoi retrouvent-ils les mêmes mannequins, démembrés et couverts de peinture rouge, dans un conteneur le lendemain? Bien que se sentant épiés, les adolescents ont bien l'intention de faire la lumière sur cette affaire au péril de leur vie... [SDM]Critique : Un roman d'épouvante efficacement mené, dont l'ambiance lugubre s'instaure dès les premières pages en plantant le décor dans un hôtel centenaire à l'architecture vaguement gothique. Le verglas qui cogne sur les vitres, le sifflement du vent hivernal, le wi-fi qui fonctionne par intermittence, l'éclairage chancelant et l'électricité qui menace de tomber en panne à tout moment contribuent également à renforcer l'atmosphère résolument sombre dans laquelle les jeunes mènent une enquête périlleuse en s'aventurant dans les sous-sols truffés d'ombres, dont les murs sont par ailleurs recouverts de toiles protectrices. Un cadre digne des films d'horreurs traditionnels est ainsi mis en place, tandis que les héros se sentent épiés et voient leurs soupçons se tourner tour à tour vers le responsable de l'entretien et l'inspecteur en bâtiment, qui ont tous deux un comportement étrange. Rien de révolutionnaire dans ce récit d'horreur néanmoins captivant, dont le dénouement réserve une surprise quant à la véritable identité d'Alix, qui s'inscrit dans la parfaite ère du temps avec sa réflexion sur l'identité et l'expression de genre. Les numéros de chapitres, rédigés dans des éclaboussures de sang, confèrent quant à eux une touche sensationnaliste à l'ensemble, scindé en de courts chapitres narrés à la première personne dans une langue très accessible. De nombreux dialogues et quelques échanges de textos dynamisent le tout. À compter de 10-11 ans. [SDM]
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Monographie École Thérèse-Martin Roman FORT (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 103BIB009410
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Alix passe le réveillon de Noël dans un hôtel centenaire qui lui semble bien sinistre. Elle est d'ailleurs tout sauf rassurée lorsqu'elle croise Sofia Mattio, une jeune blogueuse à la tête d'une chaîne consacrée aux hôtels hantés du Québec, qui lui apprend que six membres d'une famille ont disparu l'année dernière, pendant l'incendie criminel survenu la veille de Noël, et que le dernier endroit où ils ont été vus vivants est le douzième étage, là où se trouve justement la chambre qu'elle partage avec sa mère monoparentale et son frère Noa. Sa rencontre avec Jade et Mano, qui logeaient à la même enseigne l'année dernière, lui permet par ailleurs d'apprendre que l'incendiaire n'a jamais été arrêté. Mano est d'ailleurs bien décidé à remonter la piste du coupable et l'entraîne malgré elle dans le sous-sol de l'établissement, qui est condamné le temps des rénovations. Ils y découvrent notamment six mannequins au visage strié de noir que quelqu'un a pris le temps de disposer en cercle et de revêtir d'habits de Fêtes. Qui est donc derrière cet arrangement macabre effectué dans un secteur fermé au public? Et pourquoi retrouvent-ils les mêmes mannequins, démembrés et couverts de peinture rouge, dans un conteneur le lendemain? Bien que se sentant épiés, les adolescents ont bien l'intention de faire la lumière sur cette affaire au péril de leur vie... [SDM]

Un roman d'épouvante efficacement mené, dont l'ambiance lugubre s'instaure dès les premières pages en plantant le décor dans un hôtel centenaire à l'architecture vaguement gothique. Le verglas qui cogne sur les vitres, le sifflement du vent hivernal, le wi-fi qui fonctionne par intermittence, l'éclairage chancelant et l'électricité qui menace de tomber en panne à tout moment contribuent également à renforcer l'atmosphère résolument sombre dans laquelle les jeunes mènent une enquête périlleuse en s'aventurant dans les sous-sols truffés d'ombres, dont les murs sont par ailleurs recouverts de toiles protectrices. Un cadre digne des films d'horreurs traditionnels est ainsi mis en place, tandis que les héros se sentent épiés et voient leurs soupçons se tourner tour à tour vers le responsable de l'entretien et l'inspecteur en bâtiment, qui ont tous deux un comportement étrange. Rien de révolutionnaire dans ce récit d'horreur néanmoins captivant, dont le dénouement réserve une surprise quant à la véritable identité d'Alix, qui s'inscrit dans la parfaite ère du temps avec sa réflexion sur l'identité et l'expression de genre. Les numéros de chapitres, rédigés dans des éclaboussures de sang, confèrent quant à eux une touche sensationnaliste à l'ensemble, scindé en de courts chapitres narrés à la première personne dans une langue très accessible. De nombreux dialogues et quelques échanges de textos dynamisent le tout. À compter de 10-11 ans. [SDM]

E++J+ 4.

Pour les jeunes de 9 ans et plus.

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