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Journal d'une toquée / James Patterson et Lisa Papademetriou ; illustré par Keino ; traduit de l'anglais (États-Unis) par Luc Rigoureau.

Par : Collaborateur(s) : Langue : Français Langue d'origine : Anglais Éditeur : Vanves : Hachette romans, [2015]Date du droit d'auteur : ©2015Description : 253 pages ; 22 cmType de contenu :
  • texte
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9782012256651 (broché) :
Titres uniformes :
  • Homeroom diaries. Français
Sujet(s) : Classification CDD :
  • 818/.54 P3174j 23
  • 813/.54 P3174j 23
Résumé : Roman humoristique aigre-doux au cours duquel Margaret Clark (17 ans), alias Coucou ou Cookie, raconte dans un semblant de journal les aléas de sa vie tumultueuse de lycéenne, alors qu'elle revient d'un séjour de dix jours en observation dans une clinique psychiatrique pour des symptômes alarmants de dépression et en attendant qu'on lui trouve un foyer d'accueil. Perçue comme une "cinglée" par certains de ses pairs, à l'exception de sa bande de Débiles-En-Folie, elle sort de cette expérience avec la conviction d'être plus en colère que dépressive, et ce, parce que son père, puis sa mère l'ont successivement abandonné sans vergogne. Ayant trouvé refuge chez sa voisine, la vieille Morris, elle témoigne de son retour à la vie "normale"... [SDM]Critique : Près du roman graphique avec de nombreuses illustrations en noir et blanc brouillonnes qui jalonnent le tout, on suit ici les moyennes et grandes péripéties de cette héroïne forte, malmenée par la vie, bourrée d'imagination et au franc-parler argotique imagé, souvent grossier. Elle pose un regard critique, parfois acerbe, sur les adultes qui galèrent autour d'elle et sur les jeunes qui l'entourent (ou pas): "Je franchis les portes de la cantine en priant pour que les Profs, Les Barbies et les Teigneux ne me tirent pas dessus. À la place du feu de leur mitraille, c'est par l'épaisse odeur de graillon que je suis assaillie. Typique! Rien de ce qui se mange ici n'a au préalable échappé à un bon bain d'huile. À gerber. Les Militants se démènent pour obtenir un buffet de salades. Ce que j'en pense? N'ayez pas peur de rêver, mes chéris! Leur énergie, leurs espérances et leur croyance en un avenir radieux me ravissent, il n'y a pas d'autre mot.". (cf. p. 17). Elle aborde par sa plume mordante, souvent plus crue que réfléchie, différentes thématiques propres à l'adolescence, dont certaines assez graves (dont une tentative de suicide), auxquels se greffent ses démêlées avec les services de protection de la jeunesse et de la direction de son école. À noter qu'humour et misère s'y côtoient allègrement, mais sans pathos et avec l'intensité de sa colère et dans un embrouillamini d'événements plus ou moins enchaînés. Pour une séance de défoulement jubilatoire aux accents cyniques un peu rêches, au lieu de "péter un câble", comme elle le dirait elle-même. Contexte français. [SDM]
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Monographie École Thérèse-Martin Roman PATT (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 103BIB013734
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Traduction de: Homeroom diaries.

"Trouvé dans les toilettes du lycée"--Couverture.

Roman humoristique aigre-doux au cours duquel Margaret Clark (17 ans), alias Coucou ou Cookie, raconte dans un semblant de journal les aléas de sa vie tumultueuse de lycéenne, alors qu'elle revient d'un séjour de dix jours en observation dans une clinique psychiatrique pour des symptômes alarmants de dépression et en attendant qu'on lui trouve un foyer d'accueil. Perçue comme une "cinglée" par certains de ses pairs, à l'exception de sa bande de Débiles-En-Folie, elle sort de cette expérience avec la conviction d'être plus en colère que dépressive, et ce, parce que son père, puis sa mère l'ont successivement abandonné sans vergogne. Ayant trouvé refuge chez sa voisine, la vieille Morris, elle témoigne de son retour à la vie "normale"... [SDM]

Près du roman graphique avec de nombreuses illustrations en noir et blanc brouillonnes qui jalonnent le tout, on suit ici les moyennes et grandes péripéties de cette héroïne forte, malmenée par la vie, bourrée d'imagination et au franc-parler argotique imagé, souvent grossier. Elle pose un regard critique, parfois acerbe, sur les adultes qui galèrent autour d'elle et sur les jeunes qui l'entourent (ou pas): "Je franchis les portes de la cantine en priant pour que les Profs, Les Barbies et les Teigneux ne me tirent pas dessus. À la place du feu de leur mitraille, c'est par l'épaisse odeur de graillon que je suis assaillie. Typique! Rien de ce qui se mange ici n'a au préalable échappé à un bon bain d'huile. À gerber. Les Militants se démènent pour obtenir un buffet de salades. Ce que j'en pense? N'ayez pas peur de rêver, mes chéris! Leur énergie, leurs espérances et leur croyance en un avenir radieux me ravissent, il n'y a pas d'autre mot.". (cf. p. 17). Elle aborde par sa plume mordante, souvent plus crue que réfléchie, différentes thématiques propres à l'adolescence, dont certaines assez graves (dont une tentative de suicide), auxquels se greffent ses démêlées avec les services de protection de la jeunesse et de la direction de son école. À noter qu'humour et misère s'y côtoient allègrement, mais sans pathos et avec l'intensité de sa colère et dans un embrouillamini d'événements plus ou moins enchaînés. Pour une séance de défoulement jubilatoire aux accents cyniques un peu rêches, au lieu de "péter un câble", comme elle le dirait elle-même. Contexte français. [SDM]

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