La Cité des Squelettes / Richard Petitsigne ; illustré par Romane Poch.
Collection : Étincelles (Gulf Stream éditeur)Éditeur : Nantes : Gulf Stream éditeur, [2020]Date du droit d'auteur : ©2021Description : 163 pages : illustrations ; 22 cmType de contenu :- texte
- sans médiation
- volume
- 9782354888893
- 848/.92 P491c 23
- 843/.92 P491c 23
Type de document | Bibliothèque propriétaire | Localisation | Cote | Statut | Notes | Date d'échéance | Code-barres | Reservations d'exemplaire | |
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Monographie | École Thérèse-Martin | Roman | PETI (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) | Disponible | Section lecture facile | 103BIB014930 |
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"Fantastique & humour"--Page 4 de la couverture.
Jacinthe est une jeune fille de dix ans et à cause du travail de ses parents, elle doit souvent déménager. Elle a donc de la difficulté à se faire des amis. Heureusement, elle a son chien Ventouse, qui la suit partout. Lorsqu'elle s'installe avec sa famille dans la Cité des Squelettes, elle met quelque temps à s'habituer à son nouvel environnement, où les habitants sont des paquets d'os. Par chance, Jacinthe tisse un lien d'amitié particulier avec Casper. Puis, lorsque son chien Ventouse est accusé d'avoir commis un vol et qu'un mouvement populaire réclame son départ de la cité, la jeune héroïne décide de mener une enquête au milieu de ses voisins squelettes, afin de démasquer le vrai coupable. [SDM]
Ce roman propose un récit d'enquête fantaisiste illustré de quelques dessins de synthèse en noir et blanc. On s'attache notamment au chien Ventouse, dont le personnage est habilement caractérisé. Or, du fait que la mère de Jacinthe est Québécoise, il y a souvent des changements de niveaux de langue, qui laissent perplexes. À plusieurs reprises, la mère de Jacinthe commence ses phrases par "tabarnac" ou "tabarnouche". On explique que cette expression est synonyme de "flûte" et "zut" (p. 17). Toutefois, à la différence de "flûte" et "zut", "tabarnac" est un juron grossier et offensant, également utilisé pour charger violemment des interlocuteurs. On ne le croise habituellement pas en littérature jeunesse. À ces quelques exceptions près, l'ensemble du texte, y compris les dialogues, ne recourt à aucune interjection grossière. On garde l'impression désagréable que la mère de Jacinthe est plus sauvage que les autres personnages, comme si dans l'Hexagone tout le monde s'exprimait dans un français usuel impeccable. [SDM]
E++ 3.
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