Pet patrouille. No 1 / Richard Petit ; illustration des pages intérieures, Constance Harvey.
Collection : Mon mini big à moiÉditeur : [Morin-Heights] : Andara, [2019]Date du droit d'auteur : ©2018Description : 348 pages : illustrations ; 20 cmType de contenu :- texte
- sans médiation
- volume
- 9782897461959 (broché)
- Pet patrouille. Numéro 1
- C848/.914 P489p 23
- C843/.914 P489p 23
Type de document | Bibliothèque propriétaire | Localisation | Cote | Statut | Notes | Date d'échéance | Code-barres | Reservations d'exemplaire | |
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Monographie | École Thérèse-Martin | Roman | PETI (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) | Disponible | Section lecture facile | 103BIB015471 |
Glossaire.
Tout semble aller de mal en pis à Textoville depuis que le maire, monsieur G.D. Gaz, a mis sur pied la Pet Patrouille afin de veiller à la sécurité de ses habitants. Scott, le chef de brigade, Samuel, un policier effrayé par les mouches, Mathéo, un pompier ayant la phobie du feu, et Emma, une pilote ayant très mauvais caractère, forment en effet une équipe de sauvetage extrêmement maladroite, qui a le chic pour se mettre les pieds dans les plats. Un dénommé Clin d'oeil les appelle ici à l'aide afin de se débarrasser de la mouche qui s'est infiltrée chez lui. Armés de leurs tapettes à mouches, les sauveteurs se lancent à la poursuite de l'intruse en détruisant tout sur leur passage... Ceci avant de s'aventurer dans les égouts infestés de rat afin d'en ramener le hamster du fils de l'émoticône Vomi, qui est enfui, et de secourir le maire et son assistante, dont la voiture est tombée dans le ravin Creux-Creux. [SDM]
Une série à l'humour de bas étage, qui relate les mésaventures d'une équipe de sauvetage maladroite, voire carrément abrutie, composée d'émoticônes de caca ayant pour devise "Tous pour un pour un qui pue!". Jeux de mots scatologiques et peu recherchés, expressions prises au pied de la lettre, onomatopées et illustrations de synthèse caricaturales viennent pimenter une intrigue absurde et on ne peut plus légère, dont plusieurs passages sont rehaussés en caractères gras. Une lecture de détente bien peu édifiante, dont le gros format est attribuable à la police de caractères très généreuse et aérée dans laquelle est rédigé le texte. Une vingtaine de termes plus complexes sont expliqués dans le glossaire final, auquel aucun renvoi n'est malheureusement fait au sein du récit. Facture commerciale. [SDM]
E+ 3.
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