Les ténèbres / R.L. Stine ; traduit de l'anglais (États-Unis) par Guillaume Fournier.
Langue : Français Langue d'origine : Anglais Collection : Stine, R. L. Fear street ; t. 3.Éditeur : Paris : Pocket jeunesse, PKJ, [2021]Date du droit d'auteur : ©2021Description : 200 pages ; 21 cmType de contenu :- texte
- sans médiation
- volume
- 9782266319720
- Overnight. Français
- Adolescents -- Romans, nouvelles, etc. pour la jeunesse
- Camping -- Romans, nouvelles, etc. pour la jeunesse
- Îles -- Romans, nouvelles, etc. pour la jeunesse
- Forêts -- Romans, nouvelles, etc. pour la jeunesse
- Menaces -- Romans, nouvelles, etc. pour la jeunesse
- Secret -- Romans, nouvelles, etc. pour la jeunesse
- Fugitifs recherchés par la justice -- Romans, nouvelles, etc. pour la jeunesse
- Amitié -- Romans, nouvelles, etc. pour la jeunesse
- Adolescents -- Romans
- Camping -- Romans
- Îles -- Romans
- Forêts -- Romans
- Menaces -- Romans
- Secret -- Romans
- Criminels -- Romans
- Amitié -- Romans
- 818/.54 S859t 23
- 813/.54 S859t 23
Type de document | Bibliothèque propriétaire | Localisation | Cote | Statut | Date d'échéance | Code-barres | Reservations d'exemplaire | |
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Monographie | École Thérèse-Martin | Roman | STIN v.3 (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) | Disponible | 103BIB016562 |
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"Un fim Netflix"--Couverture.
Della O'Connor attend avec impatience la nuit de camping organisée par le Club des activités de pleine nature du lycée. Elle espère en effet profiter de l'événement pour se réconcilier avec Gary, l'amoureux qu'elle a plaqué sur un coup de tête quelques semaines auparavant. Aussi, lorsque leur superviseur décrète qu'ils devront remettre leur sortie ultérieurement en raison d'un empêchement de dernière minute, l'adolescente accepte avec joie la suggestion d'un camarade, qui propose de se rendre sur Fear Island comme prévu sans en informer leurs parents. En compagnie de cinq autres élèves, Della s'élance donc, en canoë, vers cette île inhabitée et couverte de sapins, qui se dresse au milieu du lac, derrière les bois de Fear Street. Alors qu'ils se livrent à une partie de "paintball", la jeune fille s'égare et se retrouve face à un garçon inquiétant, dont le cou est orné d'un collier orné de crânes en argent. Violemment agressée, elle réussit in extremis à reprendre l'ascendant sur son assaillant qui dégringole dans le ravin. En accord avec les autres membres du club, elle décide de recouvrir de feuilles son corps inanimé en faisant le serment de ne parler à quiconque de ce qui n'était de toute façon qu'un acte de légitime défense. Or, une fois de retour à la maison, elle ne tarde pas à recevoir une enveloppe contenant un pendentif en forme de crâne et une lettre de menaces: "J'ai vu ce que vous avez fait..." [SDM]
Un roman d'épouvante de lecture facile, qui s'inscrit dans une série brodée autour de l'inquiétante Fear Street, une étroite rue jalonnée de demeures victoriennes, qui longe le cimetière municipal et traverse le bois au sud de la ville de Shadyside. De multiples rumeurs toutes plus inquiétantes les unes que les autres circulent à propos de ces lieux soi-disant maudits et hantés, à commencer par l'île visitée ici par le petit groupe. Courses-poursuites en voiture et en forêt, combats corps-à-corps, menaces et agressions armées tissent notamment la trame plutôt prévisible (du moins, pour les amateurs du genre), qui est mâtinée d'une petite romance et se termine sur une pirouette trop facile, qui révèle que l'homme laissé pour mort par les adolescents a survécu et qu'il faisait partie d'un duo de cambrioleurs recherché par la justice. Si les couvertures ont été remises au goût du jour, cette série est bel et bien campée dans les années 1980 (époque de sa parution originale), où on louait des films au club vidéo et consultait l'opératrice pour obtenir un numéro de téléphone. Des références à la musique et aux classiques cinématographiques de l'époque ponctuent également cette intrigue à saveur gentiment vintage au fil duquel Stine use des stéréotypes et poncifs du genre pour semer les fausses pistes, amener le lecteur à soupçonner les différents personnages à tour de rôle et créer, dès les premières pages, une atmosphère lugubre plutôt bien réussie. C'est cette ambiance propice aux frissons qu'apprécieront avant tout les jeunes en quête d'un divertissement sans prise de tête, qui ne révolutionne rien, est tissé d'invraisemblances et se lit d'une traite, porté par une plume d'une grande fluidité et un style plat, abondamment dialogué. Soulignons que, tel qu'indiqué sur la page couverture, cette série fait l'objet d'une adaptation très libre et beaucoup plus gore sur Netflix, qui est destinée aux plus de 18 ans et n'a pas grand-chose à voir avec les romans. [SDM]
J 3.
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