La nuit des couleuvres / Vincent Desforêts ; illustrations, ValMo.
Collection : Desforêts, Vincent, Florian Percemyster ; Éditeur : [Morin-Heights, Québec] : Boomerang, [2019]Date du droit d'auteur : ©2019Description : 191 pages : illustrations, carte ; 20 cmType de contenu :- texte
- sans médiation
- volume
- 9782897093341
- C848/.92 D453n 23
- C843/.92 D453n 23
Type de document | Bibliothèque propriétaire | Localisation | Cote | Statut | Notes | Date d'échéance | Code-barres | Reservations d'exemplaire | |
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Monographie | École Ste-Anne (004) | 2e cycle - classes | DES (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) | Disponible | Groupe 301 | 004000233 | |||
Monographie | Modèle Primaire | DES (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) | Disponible |
Glossaire.
Florian Percemyster, un jeune garçon fasciné par les phénomènes étranges, est invité à passer le week-end au chalet de son ami Dylan, sis au fin fond de la forêt, non loin du lac Témiscouata. Leur voisine Luana, dite Lou, se joint également à eux pour une journée remplie d'activités extérieures endiablées et une soirée passée autour du feu à déguster des guimauves et à se raconter des histoires. Celle de Ponik, le monstre du lac Pohénégamook, fascine particulièrement les enfants, qui prennent constamment soin de l'endroit où ils mettent les pieds après avoir aperçu une immense couleuvre à leur arrivée. Mais, voilà qu'au moment de dormir, Luana entrevoit deux immenses reptiles fuir son lit et se sauver par la fenêtre ouverte! Dylan affirme que ce sont des couleuvres-garoutes, qui se métamorphosent et deviennent géantes les soirs de pleine lune. Florian trouvera-t-il une autre explication? [SDM]
Un petit roman sans prétention, brodé autour d'un mystère peu convaincant. Mystère qui survient dans le dernier quart d'une intrigue un peu simplette et qui trouve ses explications décevantes au détour d'une pirouette révélant que tout ceci n'était qu'une blague orchestrée par Dylan. Les histoires racontées au coin du feu (rédigée sur des pages imitant celles d'un livre), des émojis et de multiples jeux typographiques viennent dynamiser la narration, déclinée sur des pages ornées de quelques bordures décoratives, d'une pagination insérée dans des loupes et d'illustrations de synthèse convenues d'esthétique BD, auxquelles on a d'ailleurs intégré ici et là quelques phylactères. Une douzaine de termes, qui ne sont pas identifiés au sein du texte, sont définis dans le glossaire final, tandis que l'ensemble est rédigé dans une police large et très aérée. . Une lecture de détente sans grandes qualités littéraires, qui met en scène une galerie multiethnique (très sommairement esquissée) comportant notamment un héros caucasien à la blonde chevelure et son ami Dylan aux racines autochtones. [SDM]
E+ 3.
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