Les lubies de Betty-Lou / texte, Bernard Villiot ; illustrations, MissPaty.
Éditeur : Grenoble : Glénat jeunesse, [2022]Date du droit d'auteur : ©2022Description : 33 pages non numérotées : illustrations en couleur ; 26 cmType de contenu :- texte
- sans médiation
- volume
- 9782344051085
- 848/.92 V757L 23
- 843/.92 V757L 23
Type de document | Bibliothèque propriétaire | Localisation | Cote | Statut | Notes | Date d'échéance | Code-barres | Reservations d'exemplaire | |
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Albums | École Ste-Anne (004) | 2e cycle - classes | VIL (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) | Disponible | Groupe 301 | 004000292 | |||
Albums | Modèle Primaire | VIL (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) | Disponible |
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Betty-Lou n'est pas une enfant comme les autres. Ses parents, que leur travail entraîne sans cesse aux quatre coins du monde, ne la voient que le jour de Noël et de son anniversaire, l'occasion rêvée de la couvrir de cadeaux et de céder au moindre de ses caprices. Caprices que ses six domestiques s'efforcent à leur tour de satisfaire le reste du temps. Aussi, lorsque la fillette exige une robe en barbe à papa rose, un confiseur virtuose est appelé en urgence au château et lui confectionne une magnifique tenue vaporeuse, qu'elle dévore par petits filaments au fil de la journée avant de se mettre au lit, l'estomac un peu barbouillé. Le même scénario se reproduit les jours suivants, entraînant une dégradation progressive de l'état de la petite terreur... [SDM]
Un album d'apprentissage ayant pour héroïne une fillette capricieuse et autoritaire, qui exige que le monde tourne autour d'elle et que chaque domestique remue quotidiennement ciel et terre afin de satisfaire chacune de ses lubies. La dernière en date la conduit toutefois à sa perte, sa consommation excessive de gourmandises provoquant une terrible indigestion, doublée d'une éruption cutanée, qui la contraint bientôt à garder le lit. D'horribles cauchemars (dans lesquels l'énorme boule cotonneuse qu'elle est devenue est dévorée par des fourmis) la ramènent miraculeusement à de meilleurs sentiments et la conduisent à accueillir avec bonheur tous les enfants du village que le confiseur a invités à prendre le goûter pendant sa maladie. Désormais, la raisonnable enfant ne mange plus de sucreries qu'avec parcimonie et n'exige rien du tout, ayant compris "que pour tromper l'ennui, les amis valent mieux que les lubies" (p. [32]). Cette aventure, conclue de manière un peu trop rapide, est mise en images par des dessins et pastels de synthèse au fini poudré, qui donnent vie à ce petit monde princier dans des couleurs pastel acidulées. La petite terreur aux cheveux noirs, coiffée d'une couronne, y est entourée d'un énorme chat blanc (qui lui sert de coussin et de confident) et d'une horde de domestiques aux mimiques caricaturales amusantes, qui s'efforcent de satisfaire ses caprices tous plus ridicules les uns que les autres. Le tout campé dans un univers royal à dominante mauve et rose bonbon, qui prend vie dans des compositions éclatées, pétillantes et remplies de mouvement. [SDM]
ME+ 4.
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