Plus de peur que de mal / un recueil de nouvelles de Mélissa Anctil.
Collection : Collection Graffiti ; 151.Éditeur : Saint-Lambert (Québec) : Soulières éditeur, [2023]Description : 90 pages ; 23 cmType de contenu :- texte
- sans médiation
- volume
- 9782896076413
- 2896076417
- C848/.92 A542p
- C843/.92 A542p 23/fre/202307
- C843/.6 A542p 23/fre/202307
- 843/.92 A542p 23/fre/202307
- PS9551*
Type de document | Bibliothèque propriétaire | Localisation | Cote | Statut | Date d'échéance | Code-barres | Reservations d'exemplaire | |
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Monographie | École de l'Évolution | Roman | ANCT (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) | Disponible | 026001118 |
Pop Citrouille -- Le crâne -- Grand-mère et l'oiseau -- Oiseaux de malheur -- Le sens de l'humour -- Quelques ennuis domestiques -- Tout-inclus.
Une femme ressent un impression bizarre en taillant une citrouille pour l'Halloween, le crayon et le couteau qu'elle utilise semblant répondre à une volonté étrangère avant que le gros fruit orange se déplace comme par magie dans sa rue. Une fillette est malaisée par le crâne humain placé sur le téléviseur du sous-sol chez sa tante, avec lequel elle partage malgré tout ses collations pour qu'il ne la dévore pas toute crue. Une adolescente reçoit un canari en cadeau de la part de son père, mais l'oiseau cohabite mal avec sa grand-mère, qui s'est installée chez elle depuis qu'elle perd la mémoire, surtout quand cette dernière développe l'envie de le manger. Un homme imbu de lui-même met la main sur un daguerréotype de collection sur lequel figure un homme important et alors qu'il tente de l'identifier, il est surveillé de près par une nuée de corbeaux. Ces personnages et quelques autres sont au coeur des sept nouvelles sordides réunies dans ce recueil où des situations ordinaires s'assombrissent sans explication, mais au terme de chacune d'elles, il y aura "plus de peur que de mal". Du moins, on l'espère... [SDM]
Sans plonger tout à fait dans l'horreur, les récits de six à vingt pages contenus dans ce recueil engendrent malgré tout le malaise en mettant ses protagonistes, qui ont tous pour point commun de développer une obsession pour un objet ou un être en apparence inoffensif, dans des situations angoissantes aux limites du réel. Or, n'en déplaise au titre et à ce qu'indique la quatrième de couverture, la plupart de ces nouvelles finissent mal pour au moins un personnage, ou suscitent une bonne dose de dégoût chez le lecteur, qui aurait peut-être préféré dans ce cas être apeuré. Malgré son interlignage serré, ce livre se lit néanmoins rapidement et se nimbre de plus d'une atmosphère automnale qui permet de patienter jusqu'à l'Halloween. [SDM]
J 4.
Pour les jeunes de 13 ans et plus.
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