Une chose que l'on appelle la neige / Yuval Zommer.
Langue : Français Langue d'origine : Anglais Éditeur : Paris : Albin Michel jeunesse, [2020]Date du droit d'auteur : ©2020Description : 30 pages non numérotées : illustrations en couleur ; 32 cmType de contenu :- texte
- sans médiation
- volume
- 9782226453730
- Thing called snow. Français
- 828/.92 Z86c 23
- 823/.92 Z86c 23
Type de document | Bibliothèque propriétaire | Localisation | Cote | Statut | Date d'échéance | Code-barres | Reservations d'exemplaire | |
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Albums | École de la Source d'Autray | Premier documentaire | ZOM (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) | Disponible | 006004043 | |||
Albums | École des Prairies | Album de fiction | ZOM (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) | Disponible | 115000336 |
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PAP L'escapade de Paolo / | SCH Le parapluie / | SMI Des jours comme ça / | ZOM Une chose que l'on appelle la neige / |
Renard blanc et Lièvre blanc sont nés au printemps. L'été et l'automne les ont vus grandir et développer leurs aptitudes au même rythme que leur amitié. Et, voilà qu'un jour, une sterne leur apprend, avant de s'envoler vers le Sud, qu'ils pourront bientôt cabrioler "dans cette chose que l'on appelle la neige". Mais, à quoi ressemble cette dernière? Bien décidés à en apprendre davantage, les deux copains filent dans les bois afin d'interroger l'ours, le caribou ou encore le saumon pour en apprendre davantage. Chacun leur révèle une caractéristique de la neige, qui serait blanche comme leur fourrure, froide comme leur museau, duveteuse comme leurs queues ou scintillante comme leurs yeux. Or, lorsque la nuit tombe, les héros n'ont toujours rien trouvé qui correspond à tous ces indices. Mais, au réveil le lendemain... [SDM]
Un album randonnée relatant la quête un peu convenue de deux amis désireux de percer les secrets de la neige. La balade qu'ils effectuent autour du lac, à travers la prairie, dans la forêt et le long du ruisseau est l'occasion de rencontrer diverses espèces animales des régions arctiques et subarctiques de l'Amérique et de l'Europe. Le tout prend vie dans des peintures de synthèse, qui campent le bestiaire aux yeux souvent décentrés et désenlignés (ce qui leur donne un air étrange, surtout dans les vues de profil où l'on voit les deux yeux) au coeur de décors fouillés, luxuriants et teintés d'une touche de poésie, notamment dans les scènes nocturnes. La richesse des textures traduit très efficacement le mouvement de l'eau, tandis que la mouvance des coups de pinceau semble faire s'animer la terre, la végétation ondulant dans le vent, la course des nuages dans le ciel ou la valse des premiers flocons. La couverture est rehaussée de colle scintillante. [SDM]
ME+ 4.
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