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La bête et Bethany / Jack Meggitt-Phillips ; illustré par Isabelle Follath ; traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Dominique Kugler.

Par : Collaborateur(s) : Langue : Français Langue d'origine : Anglais Collection : Meggitt-Phillips, Jack. Bête et Bethany (Suite romanesque) ; 1.Éditeur : Montrouge : Bayard jeunesse, [2022]Date du droit d'auteur : ©2022Édition : Première éditionDescription : 249 pages : illustrations ; 20 cmType de contenu :
  • texte
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9791036329142
Titres uniformes :
  • Beast and the Bethany. Français
Œuvres reliées :
  • Traduction de: Meggitt-Phillips, Jack. Beast and the Bethany
Sujet(s) : Genre/Forme : Classification CDD :
  • 828/.92 M497b 23
  • 823/.92 M497b 23
Résumé : Tout ce que désirait Ebenezer Tweezer était de demeurer beau et jeune le plus longtemps possible. Il réussit cet improbable pari pendant 512 ans en scellant une entente avec le monstre qui vit dans le grenier de son manoir: l'odieux gentleman lui fournit des singes acrobates, des statues de politicien et quelques cactus à se mettre sous la dent en échange de potions de jeunesse éternelle et d'autres cadeaux. Chaque repas qu'il apporte à la bête rend celle-ci encore plus capricieuse, de sorte qu'elle lui demande de lui emporter un enfant bien juteux en guise de prochaine offrande. Malgré son dédain pour l'humanité, Ebenezer n'a jamais eu à commettre un acte aussi terrible jusqu'ici, mais en mettant la main sur celle qu'il considère comme la plus déplaisante fillette qu'il n'a jamais rencontrée, il espère pouvoir satisfaire la créature aux trois yeux, aux deux langues et à l'énorme gueule. La dénommée Bethany a cependant plus d'un tour dans son sac pour se sortir de cette sordide situation, sans compter qu'Ebenezer découvre qu'il n'est peut-être pas aussi cruel que ce qu'il croyait... [SDM]Critique : Un roman digne de ceux de Roald Dahl, qui jongle avec des atmosphères à la fois classique et moderne pour réussir le pari d'intéresser les lecteurs à une distribution de personnages aussi détestables les uns que les autres. Il devient ainsi tout à fait plaisant de voir ces derniers déchirés entre ce qu'ils désirent et ce qui contribuerait réellement à leur bonheur, alors qu'Ebenezer se rend lui-même compte que jeunesse et richesse n'ont pas bien d'importance quand on mène une vie de solitude uniquement interrompue par les demandes d'un monstre exigeant. De même, le fait de se sentir isolée a également rendu Bethany méchante envers les autres, auxquels elle joue des tours afin qu'ils la remarquent. Les dessins à l'encre viennent de plus ponctuer à merveille ce récit truffé de réparties hilarantes. [SDM]
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Monographie École des Prairies Roman MEG v.1 (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 115000654
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Tout ce que désirait Ebenezer Tweezer était de demeurer beau et jeune le plus longtemps possible. Il réussit cet improbable pari pendant 512 ans en scellant une entente avec le monstre qui vit dans le grenier de son manoir: l'odieux gentleman lui fournit des singes acrobates, des statues de politicien et quelques cactus à se mettre sous la dent en échange de potions de jeunesse éternelle et d'autres cadeaux. Chaque repas qu'il apporte à la bête rend celle-ci encore plus capricieuse, de sorte qu'elle lui demande de lui emporter un enfant bien juteux en guise de prochaine offrande. Malgré son dédain pour l'humanité, Ebenezer n'a jamais eu à commettre un acte aussi terrible jusqu'ici, mais en mettant la main sur celle qu'il considère comme la plus déplaisante fillette qu'il n'a jamais rencontrée, il espère pouvoir satisfaire la créature aux trois yeux, aux deux langues et à l'énorme gueule. La dénommée Bethany a cependant plus d'un tour dans son sac pour se sortir de cette sordide situation, sans compter qu'Ebenezer découvre qu'il n'est peut-être pas aussi cruel que ce qu'il croyait... [SDM]

Un roman digne de ceux de Roald Dahl, qui jongle avec des atmosphères à la fois classique et moderne pour réussir le pari d'intéresser les lecteurs à une distribution de personnages aussi détestables les uns que les autres. Il devient ainsi tout à fait plaisant de voir ces derniers déchirés entre ce qu'ils désirent et ce qui contribuerait réellement à leur bonheur, alors qu'Ebenezer se rend lui-même compte que jeunesse et richesse n'ont pas bien d'importance quand on mène une vie de solitude uniquement interrompue par les demandes d'un monstre exigeant. De même, le fait de se sentir isolée a également rendu Bethany méchante envers les autres, auxquels elle joue des tours afin qu'ils la remarquent. Les dessins à l'encre viennent de plus ponctuer à merveille ce récit truffé de réparties hilarantes. [SDM]

E++ 4.

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