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Bunny, cheval de guerre : une histoire vraie / texte, Elizabeth MacLeod ; illustrations, Marie Lafrance ; texte français de Marie-Andrée Clermont.

Par : Collaborateur(s) : Langue : Français Langue d'origine : Anglais Éditeur : Toronto, Ontario : Éditions Scholastic, [2014]Date du droit d'auteur : ©2014Description : 31 pages non numérotées : illustrations en couleur, carte ; 23 x 26 cmType de contenu :
  • texte
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9781443138185 (broché) :
Titres uniformes :
  • Bunny the brave war horse. Français
Sujet(s) : Classification CDD :
  • 636.1/00929 M165b 23
Résumé : Août 1914. Quelques semaines auparavant, une terrible guerre a éclaté en Europe et les soldats canadiens ont grand besoin de solides montures afin de les accompagner sur le champ de bataille. C'est ainsi que Bunny, un superbe cheval bai ainsi nommé en raison de ses oreilles un peu longues, débarque sur le sol européen à l'hiver 1915, au terme d'un long voyage en mer. Guidé par son cavalier, Ben Dudas, cette monture formée à la brigade de la police montée de Toronto fait preuve d'un courage qui force l'admiration en affrontant, jour après jour, les gaz toxiques, les bombardements, les mauvaises conditions météorologiques, la faim et les autres horreurs de la guerre afin de livrer des messages, évacuer des blessés du champ de bataille, tirer des ambulances et des charrettes chargées de ravitaillement ou remorquer des armes lourdes. Lorsque Ben décède, la bête éprouvée poursuit son travail sous la gouverne de son frère, Thomas Dundas, jusqu'à ce que la paix soit enfin signée. [SDM]Critique : Un émouvant récit, inspiré de faits réels, qui n'est pas sans rappeler le roman ##Cheval de guerre## de Morpurgo, qui fut porté à l'écran par Spielberg. Une double page documentaire, illustrée d'une carte de la France et de la Belgique, complète le texte, qui évoque les multiples usages du cheval pendant la Grande Guerre tout en soulignant la relation privilégiée unissant les frères Dundas et Bunny, qui est l'une des rares montures à avoir survécu au combat. Cette relation est également au coeur des illustrations d'une grande sobriété, qui sont réalisées dans une palette dominée par des gris, bruns et vert kaki et qui plantent davantage l'action sur les routes de campagne, les écuries, le bureau des officiers et les quartiers de l'armée que sur le front, où l'on aperçoit d'ailleurs aucune tranchée... [SDM]
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Monographie Services éducatifs Documentaire FRAP Doc 636.1 (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible Documentaire 330012145
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Traduction de: Bunny the brave war horse.

Août 1914. Quelques semaines auparavant, une terrible guerre a éclaté en Europe et les soldats canadiens ont grand besoin de solides montures afin de les accompagner sur le champ de bataille. C'est ainsi que Bunny, un superbe cheval bai ainsi nommé en raison de ses oreilles un peu longues, débarque sur le sol européen à l'hiver 1915, au terme d'un long voyage en mer. Guidé par son cavalier, Ben Dudas, cette monture formée à la brigade de la police montée de Toronto fait preuve d'un courage qui force l'admiration en affrontant, jour après jour, les gaz toxiques, les bombardements, les mauvaises conditions météorologiques, la faim et les autres horreurs de la guerre afin de livrer des messages, évacuer des blessés du champ de bataille, tirer des ambulances et des charrettes chargées de ravitaillement ou remorquer des armes lourdes. Lorsque Ben décède, la bête éprouvée poursuit son travail sous la gouverne de son frère, Thomas Dundas, jusqu'à ce que la paix soit enfin signée. [SDM]

Un émouvant récit, inspiré de faits réels, qui n'est pas sans rappeler le roman ##Cheval de guerre## de Morpurgo, qui fut porté à l'écran par Spielberg. Une double page documentaire, illustrée d'une carte de la France et de la Belgique, complète le texte, qui évoque les multiples usages du cheval pendant la Grande Guerre tout en soulignant la relation privilégiée unissant les frères Dundas et Bunny, qui est l'une des rares montures à avoir survécu au combat. Cette relation est également au coeur des illustrations d'une grande sobriété, qui sont réalisées dans une palette dominée par des gris, bruns et vert kaki et qui plantent davantage l'action sur les routes de campagne, les écuries, le bureau des officiers et les quartiers de l'armée que sur le front, où l'on aperçoit d'ailleurs aucune tranchée... [SDM]

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