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La mélodie de l'été : récit poétique / Émilie Rivard.

Par : Collection : ParcellesÉditeur : Ville-Marie (Québec) : les Z'ailées, éditeur jeunesse, [2023]Description : 117 pages : 1 illustration ; 18 cmType de contenu :
  • texte
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9782925261278
Sujet(s) : Genre/Forme : Classification CDD :
  • C848/.92 R618m
  • C841/.92 R618m 23/fre/202305
  • C841/.6 R618m 23/fre/202305
  • 841/.92 R618m 23/fre/202305
Résumé : La narratrice sait bien ce qui l'attend une fois qu'elle aura terminé ses devoirs et son goûter. Elle prend ainsi son temps avant que sa mère l'oblige à sortir son violon de son étui. Si elle aime l'objet avec sa teinte de renard, elle n'aime pas les sons qui se produisent sous ses doigts. "Ils dansent sur les cordes, / mais ils n'exécutent pas bien les pas. / L'archet devrait suivre une voie bien droite. / Il zigzague plutôt dangereusement, / provoquant des accidents / sonores." (p.11) Si ces pratiques quotidiennes l'embêtent, elles prennent une tout autre signification au moment où elle fréquente le camp musical Saint-Alexandre, dans le Bas-Saint-Laurent, en compagnie de sa grande soeur. Elle y retrouve ainsi avec joie les amis et les moniteurs qu'elle a rencontrés l'été précédent, mais le séjour prend une nouvelle tournure lorsqu'elle surprend une mélodie au piano s'élever bien après le coucher du soleil. Qui est ce musicien nocturne? S'agirait-il... d'un fantôme? [SDM]Critique : Un roman de sept chapitres déclinés en une narration en prose et parsemés de quelques calligrammes ainsi que de multiples variations typographiques. Le texte livré avec franchise et humilité demeure enjoué, même quand surviennent quelques éléments de suspense alors que la narratrice pense que le camp est hanté. Cette petite frayeur lui permet cependant de faire le point face à sa pratique musicale, ce qui l'incite à voir sa relation avec son violon sous un tout autre jour. [SDM]
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Monographie École des Prairies Documentaire 841 (Parcourir l'étagère(Ouvre ci-dessous)) Disponible 115001900
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La narratrice sait bien ce qui l'attend une fois qu'elle aura terminé ses devoirs et son goûter. Elle prend ainsi son temps avant que sa mère l'oblige à sortir son violon de son étui. Si elle aime l'objet avec sa teinte de renard, elle n'aime pas les sons qui se produisent sous ses doigts. "Ils dansent sur les cordes, / mais ils n'exécutent pas bien les pas. / L'archet devrait suivre une voie bien droite. / Il zigzague plutôt dangereusement, / provoquant des accidents / sonores." (p.11) Si ces pratiques quotidiennes l'embêtent, elles prennent une tout autre signification au moment où elle fréquente le camp musical Saint-Alexandre, dans le Bas-Saint-Laurent, en compagnie de sa grande soeur. Elle y retrouve ainsi avec joie les amis et les moniteurs qu'elle a rencontrés l'été précédent, mais le séjour prend une nouvelle tournure lorsqu'elle surprend une mélodie au piano s'élever bien après le coucher du soleil. Qui est ce musicien nocturne? S'agirait-il... d'un fantôme? [SDM]

Un roman de sept chapitres déclinés en une narration en prose et parsemés de quelques calligrammes ainsi que de multiples variations typographiques. Le texte livré avec franchise et humilité demeure enjoué, même quand surviennent quelques éléments de suspense alors que la narratrice pense que le camp est hanté. Cette petite frayeur lui permet cependant de faire le point face à sa pratique musicale, ce qui l'incite à voir sa relation avec son violon sous un tout autre jour. [SDM]

E 4.

Pour les jeunes.

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