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Nouchka et la grande question / un conte musical d'après une idée originale de Serena Fisseau ; illustré par Soline Garry ; une histoire et des chansons écrites par David Sire ; des musiques composées par Samuel Strouk.

Par : Collaborateur(s) : Langue : Français Langue parlée : Français Éditeur : Rochefort : Le Label dans la forêt, [2017]Date du droit d'auteur : ©2017Description : 27 pages : illustrations en couleur ; 32 cm; 1 disque compact : numérique ; 12 cmType de contenu :
  • texte
  • parole énoncée
  • musique exécutée
Type de média :
  • sans médiation
  • audio
Type de support :
  • volume
  • disque audio
ISBN :
  • 9791097463007
Sujet(s) : Genre/Forme : Classification CDD :
  • 848/.92 S619n 23
  • 843/.92 S619n 23
Interprétation: Serena Fisseau (chant, narration) ; Fred Soul (percussions, piano, choeurs), Valentin Mussou (violoncelle, choeurs).Résumé : Lorsque son papa est décédé, la petite Nouchka s'est repliée sur elle-même. Isolée dans le silence, elle passe ses récréations sur un banc tout au fond de la cour, emmitouflée dans un grand veston rayé qui lui donne un air un peu ridicule. Sous les moqueries des autres enfants, elle ressasse des questions qui prennent toute la place et qui l'étouffent: Pourquoi? Pourquoi un jour on n'est plus là? Et pourquoi son papa... Comment faire pour continuer à vivre? Un soir, alors qu'elle pleure la veste que ses camarades ont mise en morceaux, elle trouve un grand réconfort dans les paroles de Zya, la dame d'entretien aux allures de fée, qui sait mettre des mots sur sa perte et lui redonne un peu de légèreté en lui donnant le courage de s'accrocher... [SDM]Critique : Un conte musical poignant, vibrant de beauté et de poésie, qui aborde le deuil et la perte prématurée d'un papa dans un mélange de finesse, de délicatesse et d'exaltation, cette dernière étant insufflée à l'ensemble par des chansons où la tristesse se mêle à la révolte, ainsi qu'à l'ardeur de vivre, plus forte que tout. La compréhension et l'empathie manifestées par la dame de service (qui a également perdu son papa) permet à la fillette de sortir de son mutisme alors qu'elle comprend non seulement que la mort fait partie de la vie, mais également qu'elle doit aller vers les autres et déployer ses ailes pour surmonter son chagrin. Des fleurs qu'elle a cousues dans la chemise de son défunt papa et offertes à ses camarades de classe lui permettent de rétablir les ponts et de reprendre sa vie tout en conservant la présence de son papa, comme un grigri, contre son coeur. Des aquarelles, finement rehaussées à la plume et au feutre, mettent le tout en images avec fantaisie et onirisme dans des compositions métaphoriques qui traduisent avec poésie la détresse et l'enfermement de Nouchka, puis sa rencontre libératrice avec une dame aux allures de fée qui la tire de sa nuit intérieure et l'ouvre aux autres dans une finale lumineuse. [SDM]
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"Livre disque"--Couverture.

Interprétation: Serena Fisseau (chant, narration) ; Fred Soul (percussions, piano, choeurs), Valentin Mussou (violoncelle, choeurs).

Lorsque son papa est décédé, la petite Nouchka s'est repliée sur elle-même. Isolée dans le silence, elle passe ses récréations sur un banc tout au fond de la cour, emmitouflée dans un grand veston rayé qui lui donne un air un peu ridicule. Sous les moqueries des autres enfants, elle ressasse des questions qui prennent toute la place et qui l'étouffent: Pourquoi? Pourquoi un jour on n'est plus là? Et pourquoi son papa... Comment faire pour continuer à vivre? Un soir, alors qu'elle pleure la veste que ses camarades ont mise en morceaux, elle trouve un grand réconfort dans les paroles de Zya, la dame d'entretien aux allures de fée, qui sait mettre des mots sur sa perte et lui redonne un peu de légèreté en lui donnant le courage de s'accrocher... [SDM]

Un conte musical poignant, vibrant de beauté et de poésie, qui aborde le deuil et la perte prématurée d'un papa dans un mélange de finesse, de délicatesse et d'exaltation, cette dernière étant insufflée à l'ensemble par des chansons où la tristesse se mêle à la révolte, ainsi qu'à l'ardeur de vivre, plus forte que tout. La compréhension et l'empathie manifestées par la dame de service (qui a également perdu son papa) permet à la fillette de sortir de son mutisme alors qu'elle comprend non seulement que la mort fait partie de la vie, mais également qu'elle doit aller vers les autres et déployer ses ailes pour surmonter son chagrin. Des fleurs qu'elle a cousues dans la chemise de son défunt papa et offertes à ses camarades de classe lui permettent de rétablir les ponts et de reprendre sa vie tout en conservant la présence de son papa, comme un grigri, contre son coeur. Des aquarelles, finement rehaussées à la plume et au feutre, mettent le tout en images avec fantaisie et onirisme dans des compositions métaphoriques qui traduisent avec poésie la détresse et l'enfermement de Nouchka, puis sa rencontre libératrice avec une dame aux allures de fée qui la tire de sa nuit intérieure et l'ouvre aux autres dans une finale lumineuse. [SDM]

E+ 5.

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