000 03419cam a2200541 i 4500
003 SQTD
005 20241209131558.0
007 t
008 240820s2024 quca j 000 1 fre
020 _a9782897771706
020 _a2897771704
035 _a(BAnQ)0007135888
035 _a(OCoLC)1426866682
035 _a(SQTD)5461735
035 _a(SDM)C417554
040 _aQMBN
_bfre
_erda
_cQMBN
_dQMBND
_dSDM
_dSQTD
041 1 _afre
_heng
082 0 4 _aC818/.6 F615o
082 0 4 _aC813/.6 F615o
_223/202408
082 0 4 _a813/.6 F615o
_223/fre/202408
100 1 _aFlett, Julie
_eauteur,
_eillustrateur.
240 1 0 _aLet's go.
_lFrançais
245 1 0 _aOn y va ! =
_bHaw êkwa ! /
_cJulie Flett ; traduction, Fanny Britt.
246 1 _aOn y va !
246 1 _aHaw êkwa !
264 1 _aMontréal (Québec) :
_bla Pastèque,
_c[2024]
300 _a1 volume (non paginé) :
_bprincipalement des illustrations en couleur ;
_c24 x 29 cm.
336 _atexte
_btxt
_2rdacontent
336 _aimage fixe
_bsti
_2rdacontent
337 _asans médiation
_bn
_2rdamedia
338 _avolume
_bnc
_2rdacarrier
520 8 _a"Clac-clac-whouuu! Clac-clac-whouuu!" Chaque jour à sa fenêtre, un garçon entend le même son, qui lui donne envie d'enfiler son chandail et de sortir à l'extérieur en disant: "haw êkwa! On y va!" S'il s'imagine faire de la planche au parc, il peut véritablement se mettre à l'essai quand sa mère rapporte de chez sa grand-mère celle qu'elle utilisait lorsqu'elle était petite. Dès lors, l'enfant se déplace partout avec celle-ci, même s'il lui arrive souvent de tomber. Or, la gêne l'envahit une fois qu'il se rend au skatepark, où une foule de planchistes dévalent les pentes comme une cascade. Il n'est toutefois pas le seul à admirer leurs exploits de loin puisque d'autres timides le rejoignent jusqu'à ce qu'ils décident de s'élancer en criant: "haw êkwa! On y va!" [SDM]
520 1 _aDans un mot de fin, l'auteure confie s'être inspirée de la communauté de planchistes à laquelle son fils et elle ont appartenu pendant des années afin de pondre cette histoire, qui capture surtout le "besoin très fort de rouler, [la] sorte d'urgence créatrice" (p.[38]) associée à la planche à roulettes. Si le titre est bilingue et que la phrase "haw êkwa!" est répétée à plusieurs reprises, le texte est sinon uniquement rédigé en français, ce qui n'empêche pas de préciser quelques mots en langue crie à la fin ainsi que leur signification pour traduire les sensations de vitesse et d'instantanéité liées au skate. Les peintures naïves relevées au crayon présentent tout de même un groupe d'enfants aux cheveux noirs auxquels ceux qui, comme le narrateur, sont de jeunes issus des Premières Nations, pourront s'identifier. [SDM]
521 _aE+ 4.
521 _aPour enfants de 5 ans et plus.
546 _aComprends des mots en cri.
650 7 _aPlanche à roulettes (Sport)
_vFiction.
_2vmj
650 7 _aParcs
_vFiction.
_2vmj
650 7 _aCris (Premières Nations)
_vFiction.
_2vmj
650 7 _aAutochtones
_vFiction.
_2vmj
650 7 _aMères et fils
_vFiction.
_2vmj
650 7 _aAppartenance (Psychologie)
_vFiction.
_2vmj
650 7 _aAmitié
_vFiction.
_2vmj
655 7 _aAlbums de fiction.
_2vmj
700 1 _iTraduction de :
_aFlett, Julie.
_tLet's go!
700 1 _aBritt, Fanny,
_d1977-
_etraducteur.
999 _c21818
_d21818