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008 960528s1996 quc|||| 000|d fre
020 _a2894190921 (br.)
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_dSQTD
050 4 _aPS8553
082 0 _aC848.914 B7532d
082 0 _aC842.914 B7532d
100 1 _aBoucher, Denise,
_d1935-
245 1 4 _aLes divines :
_bthéâtre /
_cDenise Boucher ; présentation de Gisèle Sallin.
260 _aMontréal :
_bLes Herbes rouges,
_c1996.
300 _a98 p. ;
_c21 cm.
490 1 _aThéâtre ;
_v20
520 8 _aCérémonie pour un adieu à la mère ("qui a voulu s'emparer du monde") et à l'enfance. Par sept soeurs ("la femme, ici, c'est nous autres", p. 66) âgées de 38 à 60 ans, réunies dans une maison de campagne. Dans sa présentation, p. 7-8, G. Sallin qualifie l'oeuvre de "tragédie lumineuse", "d'alchimie collective", de "deuil blanc": "La mort devient un acte qu'il nous est demandé de vivre - non de subir - et qui nous appartient". Beaucoup de tendresse (jusque dans le testament de Rose-Armande, la mère, p. 96). [SDM]
521 _aA 4.
650 6 _aMères et filles
_vThéâtre.
650 6 _aMort
_vThéâtre.
830 0 _aThéâtre (Les Herbes rouges (Firme)) ;
_v20.
999 _c3134
_d3134