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On y va ! = Haw êkwa ! / Julie Flett ; traduction, Fanny Britt.

Par : Collaborateur(s) : Langue : Français Langue d'origine : Anglais Éditeur : Montréal (Québec) : la Pastèque, [2024]Description : 1 volume (non paginé) : principalement des illustrations en couleur ; 24 x 29 cmType de contenu :
  • texte
  • image fixe
Type de média :
  • sans médiation
Type de support :
  • volume
ISBN :
  • 9782897771706
  • 2897771704
Titre associé :
  • On y va !
  • Haw êkwa !
Titres uniformes :
  • Let's go. Français
Œuvres reliées :
  • Traduction de : Flett, Julie. Let's go!
Sujet(s) : Genre/Forme : Classification CDD :
  • C818/.6 F615o
  • C813/.6 F615o 23/202408
  • 813/.6 F615o 23/fre/202408
Résumé : "Clac-clac-whouuu! Clac-clac-whouuu!" Chaque jour à sa fenêtre, un garçon entend le même son, qui lui donne envie d'enfiler son chandail et de sortir à l'extérieur en disant: "haw êkwa! On y va!" S'il s'imagine faire de la planche au parc, il peut véritablement se mettre à l'essai quand sa mère rapporte de chez sa grand-mère celle qu'elle utilisait lorsqu'elle était petite. Dès lors, l'enfant se déplace partout avec celle-ci, même s'il lui arrive souvent de tomber. Or, la gêne l'envahit une fois qu'il se rend au skatepark, où une foule de planchistes dévalent les pentes comme une cascade. Il n'est toutefois pas le seul à admirer leurs exploits de loin puisque d'autres timides le rejoignent jusqu'à ce qu'ils décident de s'élancer en criant: "haw êkwa! On y va!" [SDM]Critique : Dans un mot de fin, l'auteure confie s'être inspirée de la communauté de planchistes à laquelle son fils et elle ont appartenu pendant des années afin de pondre cette histoire, qui capture surtout le "besoin très fort de rouler, [la] sorte d'urgence créatrice" (p.[38]) associée à la planche à roulettes. Si le titre est bilingue et que la phrase "haw êkwa!" est répétée à plusieurs reprises, le texte est sinon uniquement rédigé en français, ce qui n'empêche pas de préciser quelques mots en langue crie à la fin ainsi que leur signification pour traduire les sensations de vitesse et d'instantanéité liées au skate. Les peintures naïves relevées au crayon présentent tout de même un groupe d'enfants aux cheveux noirs auxquels ceux qui, comme le narrateur, sont de jeunes issus des Premières Nations, pourront s'identifier. [SDM]
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"Clac-clac-whouuu! Clac-clac-whouuu!" Chaque jour à sa fenêtre, un garçon entend le même son, qui lui donne envie d'enfiler son chandail et de sortir à l'extérieur en disant: "haw êkwa! On y va!" S'il s'imagine faire de la planche au parc, il peut véritablement se mettre à l'essai quand sa mère rapporte de chez sa grand-mère celle qu'elle utilisait lorsqu'elle était petite. Dès lors, l'enfant se déplace partout avec celle-ci, même s'il lui arrive souvent de tomber. Or, la gêne l'envahit une fois qu'il se rend au skatepark, où une foule de planchistes dévalent les pentes comme une cascade. Il n'est toutefois pas le seul à admirer leurs exploits de loin puisque d'autres timides le rejoignent jusqu'à ce qu'ils décident de s'élancer en criant: "haw êkwa! On y va!" [SDM]

Dans un mot de fin, l'auteure confie s'être inspirée de la communauté de planchistes à laquelle son fils et elle ont appartenu pendant des années afin de pondre cette histoire, qui capture surtout le "besoin très fort de rouler, [la] sorte d'urgence créatrice" (p.[38]) associée à la planche à roulettes. Si le titre est bilingue et que la phrase "haw êkwa!" est répétée à plusieurs reprises, le texte est sinon uniquement rédigé en français, ce qui n'empêche pas de préciser quelques mots en langue crie à la fin ainsi que leur signification pour traduire les sensations de vitesse et d'instantanéité liées au skate. Les peintures naïves relevées au crayon présentent tout de même un groupe d'enfants aux cheveux noirs auxquels ceux qui, comme le narrateur, sont de jeunes issus des Premières Nations, pourront s'identifier. [SDM]

E+ 4.

Pour enfants de 5 ans et plus.

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